On nomma ce terrible jour comme tel : la Trahison. La figure d’espoir ayant abandonné les siens ainsi que sa patrie, le visage du Japon changea du tout au tout. On savait les Alters dangereux, mais à quel point ?
La journée s'était levé, il était tôt, il faisait un peu froid, un petit vent soufflais, il fis même voler quelques pétales de fleurs quand j'étais passé dans la parc. Je n'avais pas pris Ai avec car elle avais été sortie quelques heures avant. Et puis, j'avais prévu de passé au magasin plus tard, après que j'aie fini mon entraînement physique, courir durant quelques minutes pour garder la forme.
Un ciel était bleu, j'avais mis une petite tenue bien confortable pour le sport, un short noir avec un peu de rose dessus et une petite blouse rose et noir et des baskets noir très simple. J'avais pris un petit blouson noir car il ne fallait pas que j'attrape froid. Je courrais, j'avais enfin réussi à battre mon record, je marchais un peu pour récupérer mon souffle. J'avais les poumons en feu, je repris mon souffle doucement en inspirant et expirant l'air doucement. Quand une ombre arrivais derrière moi, je ne l'avais pas remarqué avant mais il était grand, imposant, je ne le vis pas de suite et surtout mon cœur allais avoir un choc quand je vais le reconnaître.
Les cheveux rouge un peu plus foncé que moi, les yeux noirs et surtout il était bien plus grand que moi. Il me mis une main sur épaule pour commencer, je fixais la rue, je ne comprenais pas pourquoi mais ce geste m'avais comme bloqué de peur. je senti assez vite que cela allais poser un problème. Quand je lui dis avec un ton si froid que l'on pouvais entendre de la colère.
《 Retire ta main sinon...》
Je n'avais pas le temps de finir ma phrase que celui-ci me répondis, avec sa voix qui résonnais dans mes oreilles, j'étais pétrifiée et il en fallait beaucoup pour me faire cette effet. J'avais l'habitude de la peur mais là, cette voix, elle me glaçais le sang.
《 Alors Shina chou, c'est comme ça que tu parle à ton frère ? 》
Mon frère, je ne voulais pas me retourner face à lui, que pouvais faire de plus ? J'avais envie de pleurer et de le prendre dans mes bras mais je savais que sa présence était mauvais signe. Pourquoi était-il là ?
《 Alors soeurette, on ne parle plus ? Allez Shina, dit moi quelque chose ? À peut-être que tu préfèrerais que je t'appelle Bloody?》
Je fis un mouvement brusque quand il sorti le mot Bloody, ma main fini sur sa joue avec une violence telle que sa joue était devenue rouge.
《 Jamais plus tu m'appelle comme ça, JAMAIS !! PLUS JAMAIS TOI OU N'IMPORTE QUI NE ME SURNOMME COMME CA》
La colère était là, la rage était arrivé et il en fallait beaucoup, mais il faut savoir que Bloody était un surnom que mon jumeau m'avais donné. Depuis sa mort, je ne supportais plus ce surnom. Mais mon frère n'avais pas aimé ça. Il me pris la main et me jeta au sol.
《 Alors là, tu va me le payé ma chère. De toute façon, tu va venir avec moi. 》
Je ne pouvais pas dire quoi que ce sois que mon frère me pris par les cheveux pour me relevée. Il était très violant, alors c'est cela que je serais devenu en restant avec eux ? Comme cette brute, il avais pourtant tant d'amour il y a 2 ans d'ici. c'était mon ami, je ne pouvais pas lui faire de mal. 《 Yuko, s'il te plais, arrête, lâche moi, tu sait que je ne veux pas te faire de mal ? ARRÊTE !!》
il ne me lâcha pourtant pas, il était habillé en pantalon noir et un gros blouson. Il m'attrapa la main et, alors que j'essaie de fuir sans lui faire de mal, les larmes commençaient à couler de mes yeux. Comment cela pouvait-il m'arriver ? Je ne voulais vraiment pas l'affronter, j'avais peur de lui et, surtout, je savais ce qui m'attendais mais je crois qu'au fond c'était l'amour que je lui portais qui m'empêchais de lui faire du mal.
《 Arrête Shina, tu rentre avec moi et tu oublie les héros, rentre avec nous et tu fera ce que père voudra, point barre. 》
Il me tira de toutes ses forces et mes pieds commençaient à glisser. J'espère que quelqu'un me sauvera mais, en vrai, j'avais des doutes. Après tout, les héros ne couraient pas les rues, et puis, personne ne viendra sauver une pauvre âme comme moi.
Quand le passe de Hante Ayuzawa Shina / Hanabusa Tara / Amatsu Gensou
Il est tôt… Très tôt… C'est en tout cas vrai pour la plupart des gens ici… Pour moi il est tard. Mais je ne peux me permettre d'aller dormir.
La soirée au Sekai s'est terminée à l'horaire habituel, mais je ne suis pas allé dormir après, cette fois. En effet, vu que je n'ai pas de cours à donner aujourd'hui, j'en ai profité pour effectuer ma ronde héroïque pendant le reste de la nuit, afin d'aider la police en cas d'événement impliquant un vilain lors du couvre feu. Maintenant je vais devoir rester éveillé pour la journée afin d'être présent à l'ouverture.
Il y a quelques heures, je suis allé ranger mon costume, et je me promène désormais en ville. La fraîcheur ambiante m'aide à garder les idées claires, surtout avec ce vent frais, indicateur plus que clair de l'approche de l'hiver. Toujours est-il que je suis dans un quartier où je n’ai pas l’habitude de passer lorsque des bruits de conversation m’attirent. J’ai l’impression de reconnaître l’une des voix d’ailleurs.
— Alors soeurette, on ne parle plus ? Allez Shina, dit moi quelque chose ? À peut-être que tu préfèrerais que je t'appelle Bloody?
Un claquement sec se fait entendre, comme une gifle. Je me rappelle des rares fois ou maman à du nous en mettre, et j’ai mal rien que d’y penser.
— Jamais plus tu m'appelle comme ça, JAMAIS !! PLUS JAMAIS TOI OU N'IMPORTE QUI NE ME SURNOMME COMME CA
Bloody? C’est bien la voix de ma petite nouvelle, la jeune employée que j’ai à l’essai, Ayuzawa Shina… Je m’approche alors, tendant l’oreille pour me guider aux sons. D’ailleurs, un bruit sourd se fait ensuite entendre, comme la chute d’un corps. Elle serait si forte que ça?
— Alors là, tu va me le payé ma chère. De toute façon, tu va venir avec moi.
— Yuko, s'il te plais, arrête, lâche moi, tu sait que je ne veux pas te faire de mal ? ARRÊTE !!
— Arrête Shina, tu rentre avec moi et tu oublie les héros, rentre avec nous et tu fera ce que père voudra, point barre.
Je finis par arriver derrière eux, derrière lui. Il est en train de la traîner, la maintenant debout par les cheveux et la tirant ailleurs, probablement vers leur père. Elle m'avait bien dit que tout ne se passait pas bien avec sa famille et, connaissant son nom de famille, il ne m'avait pas fallu longtemps pour savoir d’où elle venait. Son enrôlement dans une académie héroïque était preuve de sa volonté de changer, et je veux l’y aider.
Je m’approche alors, et pose une main ferme sur l’épaule de son frère. Le sourire sur mon visage n’a rien à voir avec celui que j’affiche au bar, c’est un sourire froid, sadique… Presque cruel.
— Yuko, c’est ça? Relâche-là.
Je laisse un blanc de même pas deux secondes, laissant mes mots se frayer un chemin jusqu’à son esprit. Mon ton est sec, clair.
— Tout de suite.
La promesse contenue dans ma voix ne laisse aucun doute planer. S’il ne s’exécute pas, il le sentira passer.
Quand le passé de Hante (Pv Ayuzawa, Toliima, Hanabura)
Son souffle commençait à produire des petits nuages de vapeur comme lors de ses joggings matinaux : un des signes de la transition qui s'opérait entre Miss Automne et Monsieur l'Hiver. Le second concernait l'arrangement vestimentaire de ses collègues et des civiles bien qu'il y avait toujours des exceptions : au moins, il ne ressortait moins à être le seul agent à porter des gants à chacune de ses tâches en extérieurs. Et oui, sa séance matinale avait dû être décalée et écourtée car il était de service de patrouille. Sa marche ne se faisait pas cette fois de manière à courir dans des lieux tranquilles où il ne risquait pas de croiser des inconnus mais à vérifier que personne n'avait la merveilleuse idée de ce servir de ces points pour "saluer à leur manière" des coureurs généralement dépourvus de la moindre possession de valeur exceptée de leur vie... Qu'ils risquaient de se voir voler si...
"Ano...Amatsu-san... Nous nous éloignons encore de la voiture et du tracé qu'on nous a donné comme itinéraire de patrouille"lui demanda son jeune collègue de patrouille qui en imposait presque avec ses défenses qui dépassaient de sa bouche dommage qu'il avait dû mal à soutenir le regard noiraud de son aîné de face et remontait automatiquement son écharpe pour camoufler sa mâchoire à la vue des autres non au jugement des autres : réflexe conditionné né de l'expérience. Il devrait apprendre à se débarrasser de cette habitude qui pourrait lui voler de précieux instants nécessaires à une action bien qu'il ne semblait pas souffrir de tétanie en cas de perte du morceau de l'étoffe lors des séances d'entraînement. Il n'était pas une cause perdue et il pouvait se débrouiller s'il ne se contentait pas de suivre bêtement des chantiers battus et instructions sans réfléchir de lui-même.
Il avait même osé lui faire remarquer qu'ils s'éloignaient loin de leur véhicule sans en avoir informé le contrôle ce que leur instructeur, Gensou lui-même- avait martelé qu'ils se devaient d'y faire "à chaque improvisation de leur part pour que les renforts soient parés à vous rejoindre sans avoir à deviner où vous êtes passés. Et non suivre les manifestations d'alter ou la tenue flamboyante d'un des rares héros en service n'étaient pas des signalements valables ou de la foule d'irréductibles qui pensaient encore que les interventions étaient des spectacles à observer représentant "l'Art Contemporain"..."
Des voix~ leurs parvinrent, avortant leur futur échange sur les subtilités des patrouilles pour le moment présent. Un regard sans équivoque passèrent entre eux passa alors qu'il fit des signes indiquant qu'il prendra la position de tête pour voir ce qu'il en est vraiment pendant qu'il devra couvrir ses arrières et être prêt à intervenir dés qu'il lui fera signe. Cela ne pouvait n'être que des jeunes tourtereaux s'étant échauffés dans une ruelle à l'écart du public ou autre chose au vue des paroles qui commencèrent à se faire compréhensibles.
Se retournant vers son cadet, il débloqua instinctivement l'attache de son holster qui maintenait fixement son arme de service en place alors qu'il murmurait en direction de lui ses nouvelles instructions pour être sûr de bien se faire comprendre :
"On tente de calmer, pas confronter mais gardes les yeux bien ouverts et pas seulement sur ce qui y a en face. Je parle et tu dis "on n'est pas seul" si y a quelque chose..."finit le plus concisément possible en espérant qu'il se rappelait des phrases instruites pour signaler la présence de soutien ennemi. Les criminels pouvaient aussi en avoir bien qu'il semblerait que la victime en avait aussi en la personne d'un homme qu'il ne voyait que de dos mais gardait tout de même en tête. S'arrêtant à une certaine distance, il ne se racla la gorge qu'au moment où l'élément perturbateur s'apprêtait à réagir de manière non amusé à l'intervention de son public. Dommage sa prestation venait de perdre de son souffle et de la pureté ainsi que force de la spontanéité.
Se déplaçant afin de bien se mettre en vue et permettre aux joueurs de voir que celui qui venait de rejoindre leur rang était l'un des sentinelles de leur adoré Gouvernement. Ce qui fait qu'il y aurait de la paperasse rapportant leurs faits et gestes sur le bureau de quelqu'un : toute cette attention portée à leurs soins était merveilleuse, hélas comme un des enfants ingrats, de vilaines expressions se peignirent sur le visage reconnu de l'homme au blouson qui adopta un masque qui se voulait neutre si on ignorait les yeux. Dommage qu'il n'était pas du genre à passer outre les petits détails.
Comme le fait que la jeune femme-fille qu'il tenait possédait des similarités dans ses traits avec lui et pas seulement pour leur tignasse de feu reconnaissable et relié à une famille de crime reconnue mais en liberté. Leur situation actuelle lui était aussi connu : dramatique. Attaque non élucidée, perte irrémédiable d'un successeur, il ne leur en restait pourtant qu'un en lice : l'ainé qu'il avait en face de lui. La fille étant un mouton noir-blanc ?- ou une "brebis égarée" pour eux sur "la voie de l'héroïsme" et qui était aussi devant lui. Il avait le droit à rencontrer non seulement un enfant des ombres mais à deux en une matinée alors que ceux-ci fuyaient la police comme la peste. Bien qu'ils ne sortaient jamais sans leurs agents personnels leur servant comme des extensions ce qui n'était plus valable pour la fille du moins mais devait encore l'être pour l'Ayuzawa Yuko.
Puis il y avait "l'inconnu fatigué" -non, il ne parlait pas de lui-même mais de l'autre intervenant- qui semblait avoir passé une nuit courte ou pas avoir encore profité d'un sommeil réparateur. Comment il le savait ? Il était familier même très intime avec la Fatigue au point de reconnaître ses Doigts qui tirailler les traits des autres personnes pour une fois. Un Bon Samaritain qui passait par là et voulait faire une bonne action ? Un Justicier souhaitant se prouver la légitimité de sa Justice ? Un héros qui ne sait pas se stopper même sans costume préservant son anonymat ? Dans tous les cas, il était probable qu'il n'est pas respecté le couvre-feu pas que cela importait vraiment pour l'instant, il semblait de son côté ce qui voulait dire...qu'il allait encore ouvrir la bouche alors qu'il savait qu'il devrait la garder fermer.
"Bonjour messieurs et madame, désolé d'interrompre vôtre...représentation de retrouvailles émotives et dramatiques mais que diriez-vous de me suivre sur une meilleure scène pouvant tous vous accueillir et où l'on sera ravie de vous aider à dialoguer et vous prêtez une oreille attentive... susurra d'un ton mort l'agent de policier en posant bien en vue sa main sur la crosse de son arme. Il semblerait qu'il était encore passé en mode passif-agressif qui lui valait de concentrer sur lui l'hostilité de ses interlocuteurs : pratique pour les autres, pas pour lui à vrai dire. Mais il le fallait bien des fois."Bien sûr la demoiselle n'a pas besoin... de vôtre support ou est-ce vous qui avez besoin d'aide ? Vous me semblez pourtant bien en forme de si bon matin mais si vous voulez, je serais ravi de venir vous assistez à sa place, mes mains seront ravis de vous saisir...
Ce qui n'était qu'à moitié vrai et faux, il pouvait sentir la stupeur et l'exaspération émaner de son cadet comme s'il ne croyait pas dans les rumeurs qui circulaient sur sa personne et le plaçait dans le bas du classement officieux des agents selon leur diplomatie. En tirait-il une fierté mal placée de cette place ? Oui. Forçait-il des fois ce trait ? Oui. Mais il savait qu'il y avait peu de chance que cette situation se détériore à cause de lui puisqu'il voudrait garder le profil bas et qu'il était bien sans ses minions. Malheureusement, il n'aurait pas non plus le plaisir de l'embarquer puisqu'il avait adapté son comportement à sa présence et ne lui donnait aucune raison valable de l'embarquer : ce qu'ils savaient hélas...
Quand le passe de Hante x Ayuzawa Shina / Toliima Akimitsu / Amatsu Gensou & Hanabusa Tara La journée venait de commencer pour moi et comme d'habitude, je mangeais en marchant. Je sais ce n'est pas bon, mais c'est ainsi que je fonctionne. Je pourrais très bien déjeuner au calme dans mon petit appartement, mais justement, c'est là, le souci, il y a aucun bruit et puis j'avais une mission à faire autant faire d'une pierre deux coups.
Je ne peux pas profiter du décor comme tout le monde, je ne peux même pas vous décrire à quoi ressemble mon appartement. Certes, je me débrouille pour m’habiller, préparer à manger, faire ce que tout le monde fait, mais seulement mon univers n'est pas fait de couleur, enfin si dans un sens, mais les couleurs sont si différentes et je n'ai pas encore trouvé les mots exacte pour expliquer exactement comment je perçois le monde.
Mon royaume est rempli de mélodies, de son, de perception, de bruits sans oublier que je me laisser souvent guidé par mon cœur ou comme certains dirais par mon instinct bien que je peux utiliser mes autres sens qui s’amplifier pour remplacer celui que j'ai perdu. Mon ouïe est plus fine, mon touché également !
J'ai tout de même la chance d'avoir un Alter qui m'aide beaucoup, je peux déplacer grâce à lui tout comme je peux lire n'importe quoi et tout cela, je le dois à ce que je ressens. Mon monde est fait de vibrations qui m'entourent et c'est ça qui me permet de pouvoir identifier, une personne à un objet, un enfant à un adulte, un homme à une femme et bien plus encore et qui surprend les gens quand ils découvrent que je suis aveugle puisque je me débrouille aussi bien qu'eux. Mais cela ne veut pas dire que je suis parfaite, il m'est déjà arrivé de me casser la figure, de me prendre un mur.
Je peux aussi être perturbé s’il y a trop de bruits, je dois alors me concentrer davantage et cela me prend beaucoup d'énergie et du coup, je me fatigue beaucoup plus vite comme tout le monde. Si je n’avais pas eu cette mission, je ne me serais pas aventuré si loin. Bien que j'aie l'habitude de toujours vouloir, allez de jour en jour plus loin afin de récolter des informations sur mon environnement. C'est toujours utile de savoir ou l'on va, je me suis perdu, mais fort heureusement, j'ai toujours réussi à rentrer chez moi.
La mission n'est trop compliquée bien que la surveillance n'est pas mon fort. C'est pour cela que je porte ma tenue de héros. J'ai le cœur lourd alors que j'arpente la rue quand soudain au loin, j'entends des cris. Je reste calme et me concentre afin de pouvoir identifier d'où cela peut venir ! Mon instinct est en alerte comme si quelqu'un était en danger. Je suis une héroïne et je n'ai donc pas le droit de passer mon chemin sans avoir pu aider si ont à besoin de moi.
Pendant que je cours vers les voix, j'en reconnais une parmi les autres et tout simplement parce que j'ai déjà fait une mission avec elle. C'est Shina, mon cœur fait un bon dans ma poitrine et s'accélérer ma course. Je ne peux pas laisser quelqu'un lui faire du mal, ni a quelqu'un d'autre d'ailleurs. Les autres voix, je ne les connais pas, mais au plus, j'approche et au plus, je peux identifier les gens. Trois hommes, non quatre et Shina.
Je cours comme si ma vie en dépendait et prit pour arriver, attend. J'arrive enfin à destination, mais pendant mon sprint, j'ai pu entendre les pleures de Shina, le bruit d'une gifle, un homme qui a dû intervenir en prenant la défense de la demoiselle et puis l'intervention d'une autre personne, a en jugé de sa façon de parler, il doit être de la police, commissaire, agent ? Je n'en sais pas plus, mais cependant, il faut que je fasse mon travail et c'est ainsi que je me retrouve a intervenu également.
*, mais attendez un instant... La personne que je devais justement surveiller se prénomme Yuko... Comment déjà... Où ai-je pu mettre ma missive. Merde, j'ai du là perdre en courant pour aider.* Je sais que le nom va me revenir, mais entre temps, il faut que j'aille aider mon amie même si elle a déjà des sauveurs.
À bout de souffle en uniforme de super-héros, je me retrouve en une fraction de seconde à côté de l'inspecteur. J'ai pu sentir la présence de son collègue.
"- Ou bien, tu peux aussi faire connaissance avec les miennes... Au passage, ne serais-tu pas...Yuko Ayuz...awa..."
Je dois paraître étrange, mais c'est parce que je viens de me souvenir du nom et de me souvenir également pourquoi ce nom me disait quelque chose, parce que c'est le même nom de famille que Shina et justement ma mission était de surveiller cet individu afin qu'il ne fasse pas de mal à sa sœur qui était élève dans une des école ou l'on apprend à devenir héros.
"- Si c'est bien ton identité, il me semble que tu ne devrais pas être ici ? " Continuais-je en direction du jeune homme.
D’après ce que j'avais compris, il a reçu des interdictions de circuler à certains endroits. Puis d'une voix douce, je m'adressai à Shina pour savoir si elle va bien.
"- Tu vas bien, Shina ? Et merci à vous de prendre sa défense... C'est rare de nos jours qu'on fasse correctement son travail. "
La vie est faite ainsi et je sais à quel point ses compliqué, j'espère pouvoir faire mon travail correctement et aidé les personnes qui sont là et qui sont intervenue pour aider la pauvre demoiselle en détresse.
Alors que mon frère me tirais, je remarquais une ombre qui arrivais vers nous, je me pose la question si il était seul, ou alors si il avais des amis. Je ne savais pas et mon regard se posais sur la main sur son épaule. Était-ce un héros ? J'étais perdu entre la peur et mes larmes, la vision troublée par la situation, je pouvais être calme et réagir comme une parfaite héroïne mais là, face à mon frère, mon cœur n'arrivais pas à géré la situation. J'aurais pu tombé dans les pommes ou faire une crise, bien que la crise n'était pas loin, ma respiration était forte, les larmes coulaient et jamais personne ne m'avait vue dans un tel état émotionnel, la voix de mon patron Aki, il était là pour m'aider ? Son timbre de voix n'était pas comme d'habitude, son sourire était froid, il ne rigolait pas du tout. Il était là pour me sauvé ? Sérieux !! Quelqu'un était la ? J'étais complètement perdu et je tirais encore sur la main qui me tenais, mon frère regardais Aki, d'un air froid, il n'allais pas chercher la bagarre sérieux, il voulais rétorqué quelque chose mais non, dans la rue, une autre voix se fis entendre, un policier, il était devenu tendu. Je pouvais sentir sa main se crisper et serrer encore plus, me lançant un regard froid et noir, ce qui me fis encore plus peur. Je le connaissais par cœur, tout cela était une situation encore plus stressante, je ne savais aucunement ce qui allais se passer. Tara arriva également pour pouvoir m'apporter son aide, tous étaient contre lui. Je restais fixer sur lui. Il me tirais vers lui avec un petit sourire avant de lâcher prise, ce qui me fis tombé en arrière. Avant de s'adresser aux héros qui étaient venu.
《 Je suis désolé mais ceci ne vous regarde pas, Shina est ma sœur et elle a fugué, je la ramène juste chez elle, à sa place. Nous pouvons régler cela calmement, pas besoin de sortir les armes. Si.... la loi nous interdit-il de ramener quelqu'un qui a fugué chez elle ?》
Avait-il dit avec un grand sourire tout en levant les mains en l'air. Je restais fixer sur lui, ce sourire était faux, son regard était vraiment glaciale, je ravalais ma salive mais je n'arrivais pas à répondre à cela, je fermais les yeux, me rappelant de ce que je me disait dans les ombres, inspiré et expiré, se calmer, gardé le contrôle. Je ne voulais pas répondre. Je crois que les adultes ici présents pouvaient répondre à ma place. Bien qu'il avais raison sauf pour un point. J'avais des document attestant qu'il n'avais plus aucune autorité sur moi. Je cherchais les papier avant de les sortir de ma poche.
《 tu...tu.. n'as pas le droit d'être là, tu dois rester loin de moi, ce papier le prouve..》
Un geste de la main vers moi, et se petit rire me fis stopper net, je regardais Aki et Tara, je ne connaissais qu'eux et je cherchais du soutien. Les larmes coulaient toujours sans que je puisse comprendre la situation et surtout le comportement de celui-ci, il se retournais vers moi avant de dire, avec un ton sec.
《Tu va venir avec moi et arrête de causer des problèmes, ces gens ont autres chose à faire que de s'occuper d'une gamine !!》
Je reculais, je refusais qu'il me ramène chez lui. Chez mes parents. Je me foutais bien de cela et si je le pouvais, je prendrais la fuite de n'importe quel façon.
Quand le passe de Hante Ayuzawa Shina / Hanabusa Tara / Amatsu Gensou
L’homme n’a pas l’air d’apprécier mon intervention. Tant mieux, je ne cherche pas son accord. En revanche, il s’en prend à mon employée, et il est hors de question que je laisse ceci se produire. Avant qu’il ne dise quoi que ce soit, deux policier arrivent et nous invitent à suivre une petite discussion chez eux, avant qu’une femme à l’accoutrement étrange n’arrive derrière eux. A ses paroles, il s’agit d’une héroïne, ce qui me rassure quand au fait que nous sommes en large supériorité numérique face au Ayuzawa.
Ce dernier, je le vois au visage de ma recrue, serre l’épaule de sa soeur de plus en plus fort, mais il la relâche finalement. En voyant Shina perdre l’équilibre, je me déplace pour la rattraper. Mes mouvements, un peu trop fluides pour un simple barman, risquent de mettre à mal ma couverture de simple civil mais, la fatigue aidant, je n’y prends pas garde. Tout ce à quoi je penses est d’empêcher l’adolescente de se blesser.
— Je suis désolé mais ceci ne vous regarde pas, Shina est ma sœur et elle a fugué, je la ramène juste chez elle, à sa place. Nous pouvons régler cela calmement, pas besoin de sortir les armes. Si.... la loi nous interdit-il de ramener quelqu'un qui a fugué chez elle ?
Je ne peux que serrer les dents à sa défense. Il a beau être une ordure abusant de la fragilité de sa soeur, il a raison sur ce point. Il nous est légalement interdit de l’empêcher de la ramener au domicile familial. Ce fait ne m’empêche pas de le regarder avec toute la haine que je peux éprouver pour lui, toute trace de sourire définitivement effacée de mon visage qui se fait le simple reflet de mon ressenti. Une ordure comme lui, ne traitant pas même sa soeur de sang avec respect, ne mérite pas de vivre. Son sourire vicieux, son regard narquois, tout en lui me donne la nausée, tout en lui me répugne au point d’avoir des envies néfastes. Tout en lui me pousse à la violence, j’en viens même à me poser une question, une simple question.
*Si je demande à la famille de Tanaka de s’occuper de ce cas en argumentant qu’il s’en est pris à une de mes employées, serais-je encore couvert par mon état d’agent infiltré? Serait-il possible de tourner un rapport de manière à ce qu’on croie que c’est pour être plus à fond dans ma mission d’infiltration? Et si….*
Mon remue-ménage mental est stoppé net lorsque la jeune fille sort un papier d’une de ses poches
— Tu… Tu… N’as pas le droit d’être là, tu dois rester loin de moi, ce papier le prouve…
Enfin! Les choses s’arrangent pour nous.Elle possède donc une injonction d’éloignement envers son ancienne famille, mais c’est magnifique ! Un sourire narquois passe alors sur mon visage, tandis que Yuko se tourne vers nous et reprend sèchement la parole.
— Tu va venir avec moi et arrête de causer des problèmes, ces gens ont autre chose à faire que de s’occuper d’une gamine !!
A cela, ma petite protégée recule. Soit. Elle a peur de son frère, elle ne veut pas l’affronter ni lui faire de mal, mais nous sommes quatre adultes aptes à gérer la situation et nous allons le prouver. Je me place, d’un pas assuré, devant Shina,face à son crétin de frère.
— Jusqu’à preuve du contraire, jeune homme, c’est vous qui causez des problèmes ici. Il me semble que votre soeur possède une injonction d’éloignement à votre encontre, vous n’avez donc rien a faire dans ce périmètre. Je suis certain que nos chers représentants de l’ordre ici présent sont de mon avis?
Je fais un pas de plus vers lui.
— Et non, je n’ai rien d’autre à faire que de m’occuper de mon amie.
Quand le passé de Hante (Pv Ayuzawa, Toliima, Hanabura)
Première estimation de la situation : avantage numérique confirmée, trois contre un et une otage. Favorable en somme bien qu'il ne fallait pas laisser d'ouverture et se reposer sur ses lauriers car elle pouvait évoluer rapidement et se retourner pour cela il suffisait que leur nombre change en leur défaveur...
"On a...des renforts"lui souffla avec hésitation et une pointe d'émotion qui n'avait rien de très professionnel et à faire là : de la surprise qui aurait filtré ?Il faudrait vraiment revoir ce manque d'assurance et y travailler mais pas maintenant, il devait d'abord gérer la nouvelle inconnue qui s'était ajoutée à l'équation et au sens propre. Jetant un rapide coup d'œil à sa périphérie pour jauger la nouvelle venue qui s'était placée à ses côtés sans son invitation, il put constater plusieurs détails et se faire de rapides observations avant qu'elle n'ouvre la bouche.
Tenue extravagante et distinctive : présente, un accessoire de tête -ici style bandeau, mauvais signe- : présent donc soit une vilaine soit une héroïne soit un justicier de petite stature aux cheveux blancs : était-ce une mode ? D'abord le Bon Samaritain et maintenant Elle ou un signe d'une connexion entre les deux ? Le fait qu'elle ne l'attaque pas la plaçait plus du côté "Juste" des costumés que de l'autre. Bien qu'il aimait encore moins le symbolisme du bandeau : une Justice Aveugle ? Ou qui n'avait pas besoin de viser pour atteindre sa cible donc, il devrait s'assurer de ne pas se trouver dans la ligne de mire de son alter quel qu'il soit et il ne pouvait décemment pas lui demander un débriefing à portée d'oreille de leur cible.
Note à lui-même : passer enfin en revue la liste de tous les héros recensés et en apprentissage. Certes, ils étaient moins connus mais ce n'était pas une raison de ne pas pouvoir les identifier à vue surtout qu'ils étaient aussi moins nombreux. Elle lui disait quelque chose mais il n'arrivait pas à la replacer : ce qui était bon signe et la plaçait donc plus du côté héros avec licence avec qui il n'a pas encore collaboré et prêtée attention que freelance à surveiller. Donc, une jeunette ?
Définitivement une jeunette au vue de la candeur dont elle faisait preuve et le fait qu'elle dévoilait son savoir sur Yuko Ayuzawa et le fait qu'il était sur le radar du réseau judiciaire du moins héroïque. c'était sans compter qu'elle montra son attachement envers l'otage ce qui pouvait être utilisée contre elle. Et montrait à l'homme qu'il avait toujours un avantage de taille dans les négociations bien qu'il avait changé sa prise dessus, elle était encore trop proche de lui pour agir en toute sécurité...
En parlant de sécurité, le policier se décala légèrement de l'héroïne afin de lui donner un meilleur champ d'action sur leur cible commune et aussi pour ne pas se retrouver victime d'un tir allié. Surtout dudit alliée qui trouva le temps de faire une remarque sur les compétences d'autrui : était-ce un reproche dissimulé à l'encontre des policiers ou décortiquait-il trop cette appréciation au point de retourner son sens ? Dans tous les cas, ce n'était nullement le moment de se lancer des piques entre alliés ou d'y installer une tension malvenue surtout qu'elle semblait revenir de sa patrouille nocturne -épuisement à prendre en compte. Les échanges professionnelles pouvaient attendre un meilleur moment ou jamais.
"...Et nous voilà complet pour une équipe d'intervention en bonne et due forme..."constata à voix basse le policier plus pour lui-même et son junior que comme un véritable outil de pression à l'encontre du jeune homme qui pouvait tenter le tout pour le tout s'il était trop pressé de toutes parts. C'était un risque devenu trop habituel à son goût : un départ flamboyant qu'un jugement pouvant mener à une exécution formelle.
Et non, ils n'étaient plus à l'époque féodale où les femmes étaient plus des propriété que des êtres vivants pour les membres masculins de leur famille : ce n'était pas parce qu'ils avaient une Shogun qu'ils avaient régressé à ce point : certes, ils restaient toujours la coercition familiale pour essayer d'obtenir ce qu'on voulait de leurs enfants mais elle avait moins de poids juridiquement...Surtout s'il existait une injonction d'éloignement tout ce qu'il y a de plus officielle ce que constata le Bon Samaritain à l'odeur doucereuse de l'alcool qui lui parvint aux narines suite au mouvement d'approche qu'il effectua tout en parlant :
"Et bien oui, la situation est claire comme de l'eau de roche à ce que je vois : la Loi vous interdit formellement de vous approcher et d'entrer en contact avec vôtre chère petite sœur et encore moins de la ramener "chez vous" sans son consentement.déclara d'un ton sans appel le policier en poursuivant d'un ton plus doucereux suite à la réaction du jeune homme qui voyait ses mensonges ayant autant de consistance que la vapeur qui s'échappait de ses lèvres : "Et permettez moi de vous détromper, nous nous préoccupons de tout nos citoyens et c'est littéralement nôtre devoir que d'intervenir dans ce genre de situations que cela soit de manière diplomatique ou...non."
Emboîtant le pas à l'autre connaissance de la rouquine qui semblait avoir "la capacité d'invoquer ses amis" lorsqu'elle était dans les ennuis s'il en croyait la familiarité qui existait non seulement entre elle et héroïne mais aussi entre elle et l'inconnu -en était-il seulement un ? Ou un héros sans sa couverture ? Puisqu'elle ne semblait n'être en contact qu'avec des membres de ce groupe, cela serait possible- il tendit sa main gauche, celle qui ne reposait pas sur la crosse de son arme de service en direction du duo "fraternel" et reprit la parole d'un ton calme :
Quand le passe de Hante x Ayuzawa Shina / Toliima Akimitsu / Amatsu Gensou & Hanabusa Tara Je savais maintenant ce que j'avais a fait et le jeune homme devait certainement se douter qu'il fût en tord, mais j'avais entendu par certaines personnes que la famille Ayuzawa se croyait au-dessus des lois, intouchable, voire même qu'ils imposaient la peur. Pour ma part, mon rôle était de le surveiller de façon à ce qu'il ne transgresse pas les lois et apparemment, il venait de faire l'erreur de se trouver là où n'avait pas le droit d'être là et encore moins de s'approcher de sa sœur.
Je mettais, placer à côté d'un des agents de police, me semblait-il, c'est vrai que je pouvais distinguer les gens d'une certaine façon, mais je ne pouvais pas dire qui était policier et qui ne l'était pas. Je pouvais sentir certaines choses et notamment, j'étais d'entendre que Shina avait l'attestation comme quoi son frère n'avait pas le droit de s'approcher d'elle et encore moins se trouver ici. Je laissai pour le moment l'homme qui protégeait la demoiselle et était assez proche d'elle pour la tirée de là. Je ne voulais pas dévoiler directement mes atouts néanmoins, je ne pouvais pas non plus rester là sans agir puisque mon travail était de surveiller la famille de la jeune demoiselle.
J'étais heureuse de constater que mon amie était en de bonnes-mains, mais moi, j'avais un rôle important à faire et étant donné qu'il le jeune n'avait pas respecté l'éloignement, il pouvait être puni pour cela. Je n'aimais pas trop blesser les gens, je fessais souvent en sorte de n'utiliser mon alter et les quelques techniques que je connaissais d'une façon à ne faire aucun dégât que ce soit humain ou bâtiment. L'entraînement dont j'avais eu ces derniers temps m'avait permis de m'améliorer davantage.
J'écoutais attentivement les échanges de paroles entre chacun d'eux. Les paroles du policier étaient correctes, celle de celui pour qui travaillait Shina également même si c'était le premier à avoir fait remarquer au jeune homme qu'il n'avait rien à faire ici.
Au fût de la situation tout allait bien, en tout cas pour le moment parce que avec une famille comme celle-ci, on devait souvent se préparer au pire. Il fallait donc être certain qu'il n'y avait pas par d'autres gens dans les parages.
- Comme l'ont si bien dit les messieurs avant moi, on se soucie des bons citoyens et mon rôle à moi entent que héros pro est aussi de protéger les futurs héros et en vue de la situation, c'est toi qui n'as rien à faire ici... Et si tu as prévu une échappatoire, sache que tu es sous haute surveillance... Et que tu t'es mis dans les ennuis ainsi que ceux qui se trouvent autour de nous...
J'avais pu sentir leur présence, percevoir les vibrations et puis en sommes connaissant la famille c'était à prévoir qu'il n'était pas venu seul même s'il n'oserait rien faire, il valait mieux en être sur et c'est pour que je continue sur ma lancée.
- Alors, tu leur demandes de sortir, ou tu veux que je le fasse moi-même Ayuzawa ?
À mes paroles, je pouvais sentir de la surprise émanant du jeune homme et j'attendis qu'il me réponde. Sincèrement, j’espérais qu'il décide de les appeler et qu'ils laissent tomber leurs armes parce que si je devais m'en charger, c'était à leurs risques et périls et je n'aimais pas cela. Je pense même que le policier avait auprès duquel je mettais l'avait prévu puisqu'il s'était décalé de que je suis retrouvé à ses côtés.
De toute façon, je pense qu'ils n'oseraient pas s'attaquer à nous alors qu'ils avaient des témoins mêmes si ceux-ci n'osaient pas intervenir.
Mon frère commençais à être nerveux, il voulais quitter ce lieu avec moi, peux importais ce qui se passerais après, il n'aimait aucunement ce qui se passe ici dans ce lieu entre le policier et Aki ainsi que Tara qui lui mettais des bâtons dans les roues, le voilà dans les problèmes. Il restait fixe tout en me regardant dans les yeux. Son regard était froid, voir même une menace à lui seule, il fis un petit sourire. Je restais là à regarder ce qui se passais, entre les parole de Aki qui me touchaient énormément, j'étais une amie ? Je me demandais si cela était vrai ou si il a dit ça juste sur un coup de tête ? Je connaissais assez bien Aki et je savais que ses paroles n'étaient nullement des paroles en l'air. Je comptais vraiment pour lui et toute cette situation le montrais encore plus, lors de mon entretien, cela je l'avais déjà remarqué, Aki protégeais tous ceux qui travaillaient chez lui mais il était encore plus au petit soin avec moi, comme un vrai ami le ferais. Cela me fis chaud au cœur. Mon frère lui lança un regard noir en lâchant un petit son. 《Tss》
Je restais calme, cherchant une solution pour débloquer la situation et pour que tout cela finisse bien, même la police faisait son devoir, enfin un vrai policier dans ce monde, enfin un qui prenais son job à cœur. Je n'avais jamais vu cela avant, ou alors peut-être que je n'avais jamais ouverte mes yeux après tout, j'avais eu tort sur les héros, peut-être que j'avais fait fausse route sur les policiers aussi ? Yoka ne répondit pas vraiment à sa remarque, bien qu'il lui lançais un petit regard froid comme pour le défié. Tara, elle faisait très bien son boulot, mais elle avais fait une remarque que mon frère n'avait pas aimé, il me regardait toujours dans les yeux comme pour trouver une solution quand il la fixa à ses mots. Ils y avais d'autres hommes ? Bien sûr qu'il y en avais.
《Je vois que vous préférez vous occupez de la vie des autres, vous avez vraiment cru que je serais venu seul ? Je vois... Nos Milady, ils vont pas venir causer le moindre problème... je vais quitter ces lieux tranquillement mais, prenez le comme vous le voulez mes chères, vous ne serez pas toujours là》
Cette phrase, était-ce une menace ? Bien sure que oui, c'était une menace, il marchait tranquillement avant de faire claquer ses doigts, il utilisais du morse, il savais que je connaissais son langage, il voulais me laisser un message ?
*Tes amis ne seront pas toujours là pour te protèger, chère sœur et tu va en payer le prix*
C'était clairement une menace, je regardais mes sauveurs, comment tout cela avais pu tomber aussi bas ? Je vais devoir faire attention, car il ne mentirait pas mais je savais pas à quel point il pourrait se montre cruel. Il était mon frère, à la limite, il va tenté de me kidnappé lui-même mais si seulement j'avais su que il se montrerais sans pitié avec moi. Je regardais mon bras, je pouvais voir ses marques, l'adrénaline m'avais fait oublier la douleur. Je fis un petit sourire, regardant le sol, je ne pouvais pas prévenir quelqu'un, si ? Avant que je ne puisse dire un mot, il me fis un petit sourire et me dit.
《Au revoir et passe une excellente journée, Shina..》
Il se stoppa avant de faire claquer à nouveau ses doigts pour faire passer un autre message.
*si tu parle, c'est eux qui le payeront et je serais beaucoup moins tendre avec eux, dit toi que je te veux en vie*
Avant de répondre.
《J'espère que cela n'est pas trop dur entre le travail et les cours ? Mais bon bonne chance, sœurette》
J'étais rester bloqué, cela était une menace, je ne pouvais donc pas parler pour leur vie ? Personne ne devrait perdre la vie pour moi, je ne voulais pas que quelqu'un meurt par ma faute. Mon frère regardais Tara avant de lui dire en quittant les lieux.
《 J'espère que vous avez beaucoup d'information sur ma famille.. mais croyez moi.. il serais mieux de ne pas vous retrouver seule face à nous.. ceux-ci n'est aucunement une menace... 》
Il quittais enfin les lieux, tout en gardant un léger sourire, il ne s'inquiétait pas du tout des policiers ou de Aki, après tout, il savais qu'il n'avait pas fait quelque chose de grave et donc qu'il ne pouvais pas l'arrêter mais il allais faire plus attention par la suite. Je restais là, à regarder le vide tout en me tenant l'avant-bras. Je regardais Aki, puis Tara et ainsi que la Gensou, je me penchais en avant pour les remercié, quelques larmes coulais encore mais je savais pas quoi faire de plus, incapable de bouger, je savais pas quoi faire, sous le choque de cette violence physiologique. Je ne pouvais pas y faire grand chose.
《Merci》
Je me redressais et restais là à fixé le vide, ma tête tournais, je ne me sentais pas en forme, je devrais gérer et réfléchir à quoi faire avec toutes ses informations. Entre le fait que des gens voulaient me protéger et mon frère qui allais tout faire pour me ramener chez lui et je savais que cela ne serais aucunement un papier qui allais l'arrêter.
Quand le passé de hante Ayuzawa Shina, Amatsu Gensou, Hanabusa Tara
Tout le groupe semble se souder autour de Shina, contre son frère… Tant mieux. Il est hors de question que le jeune homme obtienne ce qu’il veut. Je sais, après en avoir côtoyé, que certaines familles des ombres sont honorables, mais les Ayuzawa… Vu ce que j’en vois, il est impossible qu’ils en fassent partie. Jamais je ne permettrais à une famille aussi vicieuse de ternir cette ville.
Les deux policiers se rangent de mon côté, dès que le document est montré. Je ne suis pas certain pour leurs renforts, vu la voix mal assurée du moins gradé, cependant un peu plus impressionnant de par ses défenses. Je ne peux m’empêcher de me dire qu’il est aimable à lui de tenter de les dissimuler afin de ne pas effrayer la population, lorsque je le vois tenter de remonter son écharpe.
L'aîné du binôme, lui, semble bien plus serein et sûr de lui. Il se permet même d’énoncer les faits d’une voix ferme. Un bon policier, donc, professionnel et habitué à ce genre de situations. Le barman se détend donc en notant ce détail. D’un autre côté, l’héroïne juste se contente d’aller dans le notre sens, montrant cependant un léger manque d’expérience par ses paroles. Akimitsu ne peut lui en vouloir, il a techniquement autant d’expérience qu’elle après tout. Elle fait par contre remarquer quelque chose que Bartender n’a pas noté. Elle a repéré les renforts du criminel, et sa phrase permet donc à tout le monde de se préparer au combat, si combat il y a.
Le Ayuzawa, pourtant, ne semble pas prêt à en venir aux mains. Au contraire même, il semble se désintéresser de son objectif principal, la capture de sa sœur, pour commencer à se retirer. il se met cependant à claquer des doigts, en rythme. Akimitsu met quelques instants à comprendre qu’il s’agit de morse, et n’écoute plus les paroles de l’homme pour se concentrer sur son réel message.
A la fin de son premier message, l’infiltré serre les dents et Shina peut le sentir se tendre de colère, mais il se contient. A la fin du second, pourtant, il finit par se laisser aller, il laisse un message au frère de Shina.
— Hahahaha hahaaaa… Hahahaha haaaa
Un simple message, un peu de morse dans son rire… H.A.H.A. Ces quatre lettres, ironiques, ne sont là que pour indiquer à leur destinataire qu’il devrait faire plus attention à ses messages.
— Jeune homme. un dernier message. Vous semblez vous soucier du bien être de votre sœur, et c’est tout à votre honneur. Mais si elle vous est si importante que ça, ne devriez-vous pas la laisser suivre ses rêves?
Pendant sa phrase, Akimitsu claque aussi des doigts. Il envoie quelques mots, afin que son message ne dépasse pas ses mots.
Il se retourne alors vers l’adolescente, tandis que son frère disparaît.
— Mademoiselle Ayuzawa. Je sais que nous ne nous connaissons pas depuis longtemps mais… Accepteriez-vous que je devienne votre tuteur légal ?
Il a utilisé son nom de famille, en sachant qu’elle ne l’aime pas réellement, afin que sa demande soit bien perçue comme la plus officielle possible. Dans cette phrase, il ne lui parle pas en tant que patron, collègue ou simplement ami. Il lui parle d’égal à égal. Il la considère comme une adulte et lui demande de faire un choix en toute connaissance de cause.
Quand le passé de Hante (Pv Ayuzawa, Toliima, Hanabura)
Mise à jour de la situation : l'avantage numérique était trop beau pour durer comme le fait d'être à jour dans sa paperasse, il y avait toujours quelqu'un ou des papiers pour venir s'inviter à la fête et servir de renforts ennemis. Bref, le fait qu'un héritier survivant soit laissé sans surveillance était trop beau pour être vraie malheureusement et ils devaient l'avoir retenu suffisamment longtemps pour qu'ils comprennent que leur charge avait rencontré des pépins dans son goûter. Oh joie, profitant du discours du jeune vilain l'agent Amatsu fit de rapides signes des mains derrière son dos afin de tirer son cadet de son état distrait et le remettre en une position plus adéquate et sécuritaire s'il devait accueillir des visiteurs taciturnes par l'allée étroite qui donnait sur leur position.
Et oui, le jeune successeur des ombres n'était pas le seul à pouvoir profiter du lieu isolé et offrant peu de voies praticables -et de secours- pour l'utiliser à ses besoins. Il était possible de profiter de la disposition des lieux pour gérer l'assaut d'un nombre supérieur d'adversaires en faisant en sorte que l'afflux ne devienne pas assez abondant pour submerger leurs défenses. Ce que semblait avoir malheureusement conscience le frère, ce qui prouvait qu'il savait faire preuve de jugeote malgré sa jeunesse : hélas. Et qu'il prenait en compte les détails avant d'agir et s'adapter bien qu'il n'avait pas encore la retenue nécessaire pour faire profil bas et ne pas avoir le dernier mot ou claquement de doigt.
Est-ce que les gens considéraient vraiment que l'uniforme de policier octroyait un malus en intelligence et en perception et supprimait les sens de leur porteur ? Il n'allait quand même pas croire que ses claquements de doigts suivant un certain rythme allaient passé inaperçus à ses oreilles ni que la compréhension horrifiée qui se peignait sur les traits de sa cadette n'allaient pas éventer son stratagème éculé des fiction ? Si ? Le fait que son propre cadet et lui s'étaient amusés-vu forcés- de trouver des méthodes de communication pour échapper au radar de leurs parents flics dans leur jeunesse fait qu'il était rôdé merci bien surtout que c'était devenu un véritable défi familial avec les autres enseignements...
Des..."éclats de rire"...sans aucune joie ni humour le ramenèrent au présent et lui fit jeter un rapide regard désabusé en la direction du collègue de la jeune rouquine qui semblait avoir décidé de rejoindre les immature rangs de qui communiquaient par morse et voulaient le faire savoir au monde : oh non, voilà qu'il devenait sarcastique face à la situation qui semblait se résoudre sans échanges de coup de feu. Bien qu'il y avait encore des railleries et menaces d'échangées qui pouvaient réalimenté le feu...
"Nous vous souhaitons à vous tous et à vos amis un bon trajet de retour chez vous. Faites attention aux détours et aux mauvaises rencontres ainsi qu'une bonne continuation. "intervint d'une voix forte et ferme l'aîné des policiers pour conclure la situation et ne pas voir un nouvel round commencer qui retarderait le départ du jeune malfrat. Alors que ce dernier répondait à sa manière aux propos du samaritain avant de disparaître, Amatsu indiqua à son collègue par gestes de rester aux aguets jusqu'à qu'il s'assure du départ des menaces.
Une fois les instructions transmises et la confirmation de son cadet qui lui fit un signe de tête affirmatif -trop flagrant- qui fit pendre un pan de son écharpe sur sur son épaule gauche, il alla observer prudemment l'allée dans laquelle le jeune Ayuzawa s'était engagé pour sa retraite afin de s'assurer qu'il ne s'y était pas tapis pour faire un retour surprise ou les espionner.
"Héroïne-san, vous pouvez vous assurer que la voie est libre de partout ?"demanda l'agent de policier en suivant distraitement la demande d'adoption qui se déroulait dans son dos. Une patrouille qui les fait tombé sur une tentative d'enlèvement-pardon, une réunion de famille-,un samaritain, une héroïne, du morse et maintenant une adoption : c'était aussi logique qu'un songe mais pourtant bien réel, il savait qu'il ne dormait pas.
Ne percevant aucune menace dans son périmètre, il tourna son attention vers l'aspirante justicière qu'il étudia de la tête aux pieds afin de vérifier qu'aucune blessure ne nécessitait une intervention médicale autre qu'une boisson chaude et une pâtisserie "Désolé de vous interrompre dans ce moment touchant, mais comment allez-vous ? Une douleur particulière quelque part ? Et vous sentez-vous capable et volontaire pour déposer une plainte à son encontre ?"
Si l'héroïne au bandeau ne le détrompait pas face à la retraite totale des menaces, il fera signe au cadet de se mettre en repos : la situation étant réglée. Et qu'il était temps de passer aux témoignages et à remplir le dossier de plainte pour accompagner le rapport. Le réconfort ? il laisserait cela aux spécialistes et connaissances de la jeune fille : il savait qu'il n'était pas le mieux placé pour remplir ce rôle et son cadet semblait ne pas vouloir se mettre en avant comme s'il craignait d'effaroucher la demoiselle et ses amis en faisant un sourire de travers..
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