Nom: Endo
Prenom: Kohaku
Surnom: Osiris
Orientation Sexuelle: Hétéro
Âge: 28 ans
Métier: Héroïne et Prof
Rang: C
Feat: Fubuki de One Punch Man
Kohaku est… Une femme persévérante. Ou butée, comme vous voulez. Quand elle veut quelque chose, elle fait ce qu’il faut pour l’obtenir. Quitte à oublier la chose la plus importante qu’on lui enseigne depuis toujours : la protection et le bien-être des citoyens japonais.
Elle a tendance à se perdre dans ce qu’elle ressent. Depuis la mort de son époux surtout, elle a du mal à se contrôler. Si, en public, elle fait de son mieux, dès qu’elle est seule, vous pouvez être sûr et certain qu’elle laissera ses émotions aller. Ce qui n’en fait pas pour autant une femme méchante.
Elle n’est sans doute pas la plus gentille du monde, pour autant, elle fait de son mieux pour respecter les autres. Veuve depuis près de six ans, elle a eu du mal à accepter la vérité. Ayant perdu gout à la vie, elle faillit périr durant son renfermement. Néanmoins, elle se reprit et aujourd’hui, elle ne vit que pour une chose : que personne ne connaisse une telle douleur. Elle fera donc tout son possible pour être une personne apte à protéger autrui, encore plus les élèves sous sa surveillance. C’est en partie grâce à eux si elle est en vie aujourd’hui. Ce sentiment d’être utile à quelqu’un et pour quelque chose.
Depuis qu’elle vit seule, elle a tendance à se monter impulsive. Ce qui n’aide pas vraiment sa maladresse naturelle. Un peu tête en l’air par moment, cela peut lui donner un air mignon. Niais aussi. Un contraste assez percutant avec l’expression glaciale et le regard dur qu’elle peut arborer quand elle est en mission. Ou, tout simplement, quand on l’énerve. Car il faut ce le dire, la jeune femme a de plus en plus de mal avec les gens qui l’entoure. Que ce soit avec les élèves, ses collègues ou les civils, elle peut se montrer abrupte, sèche ou vulgaire. Elle est loin, la période où elle était une femme qui rayonnait de bonheur avec son époux, toujours souriante et douce. Et si vous lui faite remarquer, vous verrez apparaître un doigt levé, vulgairement.
Elle a de sérieuse tendance à boire. Quand elle ne travaille pas en tout cas, elle aime sentir le goût du rhum sur sa langue. Ou du gin. De la vodka… Bref. C’est un de ses remèdes pour ne pas sombrer dans une nouvelle dépression. Si elle s’est trouvé une nouvelle famille avec ses collègues et ses élèves, quand elle retrouve son appartement sans âme, elle ressent cette solitude qui lui brise le cœur et préfère sortir boire et vivre la vie d’une fêtarde que de faire réellement face à sa situation. En somme : elle ne reste que très peu chez elle.