On nomma ce terrible jour comme tel : la Trahison. La figure d’espoir ayant abandonné les siens ainsi que sa patrie, le visage du Japon changea du tout au tout. On savait les Alters dangereux, mais à quel point ?
Une journée commence et me voilà en route pour de nouvelles affaires pour ai, elle avait était super gentil alors que j’étais partie en voyage ! Amours je voulais en profiter pour quelques nouveaux jouets, un nouveau panier et pourquoi pas d’autre petit truc ? Nouvelle marque de shampoing ou un nouveau collier ? Pourquoi pas un médaillon ? Toute neuve, même si j’avais changé, il y a peu de temps ! Je voulais aussi lui acheter des biscuits et des os ! Disons que j’avais de la suite dans les idées, j’avais vu un magasin, pas trop loin ! Le ciel était dégagé, un peu froid, mais quelque chose de normal pour un mois de janvier ! Je prote une veste en cuir noir, ma belle veste que j’aime beaucoup. Un petit pull à capuche bleu foncé, cela était un beau bleu marine. Mon pantalon était en jeans de couleur bleu foncé ! Mes bottes qui me monte en dessus du genou noir de 5 centimètres de hautes, mes bottes prote bonheurs ! Mes cheveux étaient attaché en queue de cheval bien serré et haute. Laisse une petite mèche tombe devant mes yeux. J’aime avoir un petit mèche rebelle ! Je vais avec ai, une Akita Inu de 54 cm de couleur brune ! Elle était toute contente avec un nouveau collier de couleur rouge avec sa laisse de la même couleur que j’avais achetée il y quelque mois ! Je trouve que la couleur lui allez bien, mais il y avait quelque défaut, je ne voulais pas qu’ai, s’en fuis renouveau alors cela était mieux de racheter. J’arrive au magasin très tôt, cela était un samedi matin, je fuis un tour dans le magasin pour chercher quelques affaires. Ai était sur existe, quand se balade à gauche et a droit dans le magasin. Je fis un sourit quand elle prit un jouet en bouche.
« Et bien on va déjà prendre celui-là ! Tu l’aimes au dirais ! »
Je parle avec ai, un peu comme tous les propriétaires de chien enfin je crois ! Je continue à faire des allez dans le magasin et je commence a hésité sur le collier et tout se qui avais shampoing et tout, il y avait tellement que je ne savais pas quoi prendre ! Surtout que j’ai une belle Somme argent. Je regarde un peu s’il y avait un vendeur ! J’arrive à la casse et je me pose la question sans même regarder réellement qui était devant moi.
« Bonjour, excusez-moi de vous déranger, j’aime prendre un peu de votre temps pour quelque conseil voir deux.. »
Ai elle était déjà les pattes sur le comptoir pour déjà payer son jouet qu’elle avait en bouche, cette une peluche en forme de serpent noir et bleu. Je fis un sourit avant de rependre. « Ai, je ne payer pas encore ! »
Puis je me retourne vers le vendeur pour remarque que son physique n’était pas commun. «Désolé elle aime un peu trop son jouet !»
Je fis un sourit un peu honteuse et attends d’avoir sa réponse ! J’espère bien qu’on me donne un coup de main.
«Cela serait pour une nouvelle couleur qui est défaillante ! Et une nouvelle médaille et quelques petits biscuits et des os et si vous avais rien d’autre n’a me propose ? Ah aussi un panier !»
Je fis un petit moment pour réfléchir, je n’avais rien oublié ? Mmm, je ne sais pas, mais en tout cas j’avais une petite liste déjà !
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YASEI Cheshako
AYUZAWA Shina
Ce matin-là n’est pas bien différent des autres. Comme les vacances et les examens approchaient, les professeurs de Daiki laissaient quelques journées de la semaine disponible pour l’étude. Comme tous les autres jours où tu as du temps libre, tu es assis sur ton petit bureau, à réviser. Tu révises tellement souvent que tu pourrais presque réciter le contenu complet de ton cahier de note. C’est important d’être prêt pour les examens, puisque c’est ce qui permet de valider que tu réussis à l’école, et c’est maman qui t’a demandé d’être bon à l’école. C’est pour toi donc important de suivre ce qu’elle te demande. Alors que tu tournes la page de ton cahier rempli de notes, tu entends ton téléphone vibrer sur ton lit. Curieux, tu te lèves et regarde le destinateur de l’appel. : ton père. Tu réponds donc.
Allo papa ? … Non, ça va, tu ne me déranges pas… ah, okay… j’arrive dans quelques minutes.
Tu raccroches, fermant ton carnet au passage avant de te changer. Tu n’allais certainement pas aller dans l’animalerie avec ton pyjama pour travailler. Ton père est tout seul aujourd’hui pour toute l’animalerie, mais il semblerait que les clients se font plus nombreux que d’habitude. Peut-être est-ce causé par les vacances imminentes ? Ou bien par des gens qui ont reçu des animaux à Noël et doivent maintenant venir acheter les biens essentiels pour s’occuper proprement de leurs nouveaux compagnons à quatre pattes. Vite fait, tu as tendance à croire que c’est ça. Bref, n’ayant pas vraiment le temps d’y penser plus longtemps, tu te dépêches à mettre ton tablier avec le logo de l’animalerie dessus par-dessus un petit hoodie gris et un jeans bleu foncé troué de la jambe à la cuisse. Heureusement qu’on ne voit pas ton boxer à travers. Ça aurait pu être gênant. Ta queue de félin, elle, est passée à travers u trou fait exprès pour ça, dans ton vêtement. Tu as vite compris quand tu étais jeune que tu devais t’accommoder avec ton physique hors du commun.
Tu descends les escaliers séparant ta chambre du rez-de-chaussée puis tu salues ta maman de la main avant de lui expliquer la situation. Quand elle hoche la tête, tu lui fais un câlin puis tu pars en direction de l’animalerie. C’est après quelques minutes de marche que tu rejoins ton père à l’intérieur. À peine arrivé, tu commences à faire la tournée des bols d’eau, de nourritures, des petits tapis pour besoin… bref, t’assurer que tout le monde est confortable. Ensuite, tu t’approches de la caisse pour pouvoir ranger les outils utilisés. Tu entends une voix derrière toi qui semble parler à un animal canin, mais tu n’y fais pas trop attention… jusqu’à ce qu’elle résonne de nouveau derrière toi. Tu te redresses, les oreilles se dressant tout autant avant que tu ne te retournes pour croiser le regard d’une femme, sans réellement assumer son genre, qui te demande de l’aide. Cherchant ton père rapidement du regard, tu te rends compte qu’il est lui aussi occupé, et que tu dois prendre la décision de l’aider.
Hum… oui, pardon. Comment puis-je vous être utile ? Et, c’est pas grave. L’important c’est qu’elle aime son jouet.
Dis-tu avec un faible sourire. Être socialement apte à avoir une discussion sans vivre un instant de malaise est chez toi quelque chose d’un peu plus compliqué, voire difficile. Il faut quand même que tu le fasses, sinon ce serait de déléguer la tâche à ton père. Donc tu écoutes la liste, un peu confus par le début de cette dernière mais tu continues d’écouter. Tu stockes chaque élément dans ta mémoire avant d’hocher la tête. Tu souris un peu gêner puis tu tournes la tête vers la machine à médaille personnalisées qui se situe tout près du comptoir, et tu y avances.
Je pense que l’on devrait commencer par la médaille. Nous avons récemment reçu cette machine qui nous permet de faire graver des médailles personnalisées, donc on peut choisir la forme et ce qu’on grave au-devant, et à l’arrière. Je vous laisse commencer, et je vais aller chercher quelques gâteries recommandées pour les Akita Inu.
Dis-tu en regardant le chien. Tu as tendance à ne pas être à l’aise avec les canins parce que la majorité te prennent pour un félin impuissant, mais il semble peu hostile ce chien, surtout excité. Tu pars ensuite en direction des gâteries pour chiens. Tu sais que les chiens de cette race aiment beaucoup mâchouiller, donc un bon os de cuir standard fait l’affaire. Pour les gâteries, tu apportes un sac plus pour le goût, et un autre qui est enrichi en calcium pour les os. Un peu moins savoureux, mais importants pour les chiens qui nécessitent beaucoup d’activités physiquement épuisantes. Tu reviens auprès de la personne.
Pour ce qui est des gâteries, je vous emmène celles-ci, fait de bœuf séché et de bacon et quelques supplément de protéine, à prendre après un effort physique, et ceux-ci sont des gâteries de poulet avec supplément de calcium, que je recommanderais bien au quotidien pour améliorer la santé des os. Sinon, il y en a avec de la glucosamine pour les articulations aussi.
Tu espères que papa sera content de tes informations… tu en sais beaucoup, donc tu crois avoir fait le bon choix.
Je reste a regardais le jeune homme qui devait avoir mon âge, avec des oreilles de chat. Je me pose la question de si cette la meilleure personne pour m’aide avec mon chien, mais après tout je n’avais pas de jugement sur le physique. Si il travailler ici, c’est qu’il pouvait m’aide. Ai était toujours aussi énergique. J’écoute sa proposition pour de commence par la médaille. Je fus un sourire avant de prendre position, quelle forme prendre ? La police d’écriture ? La seule chose qui était sur était l’adresse, les deux numéros de moi et celui-ci de Sena et nos noms. Je finis par prendre les plus classiques couleurs or, avec une police classique. Simple et efficace. Je ne voulais pas trop me prendre la tête. Je fixe IA avec un souri, celle-ci cette enfin assis a mes pieds avec sa queue qui remue de gauche a droit avec son nouveau jouet en bouche, le mondant pour faire du bruit, mais sans chercher a déconcentre le vendeur ou moi-même.
Alors qu’il ramener quelque gâteries écoutant tout se qu’il disait enfin de prendre note de tout dans mon crâne. Je voulais que le meilleur pour la meilleure amie que j’avais depuis toutes ses années, je fis un souris avant de regardais chaque pâque, les gens allez le prendre pour une folle, mais je me foute bien. Personne je ne peux imagine que quand on se retrouve seule durent plus de 2 ans dans un apparat avec pour seule compagnie un chien, celui-ci devient juste une membres de sa famille plus précieux qu’un autre chien de famille.
« Je vais prendre tout ça pour commence. Merci, mmm pour la nourriture il serait possible d’avoir a l’agneau, je sais que cela est bon pour les estomacs, asseye toujours d’avoir les meilleurs soigne pour elle. »
Je fis un petit tour pour chercher ma porte-feuillure, je ne voulais pas non plus ne pas avoir assez, je vais pas de mains mortes pour ai, la faire plaisir, mais surtout, car bientôt mon stock allez être épuisait. Donc autant faire plaisir. Je regardais bon, normal cela me revendre pas trip cher. Je fis un sourit.
« Un collier rouge sera parfait en cuir, pas de truc fou, quelque chose de simple et joli »
Je regardais ai qui s’amuse a reste a mes pieds, elle était plus calme qu’il y a quelque minute comme-ci elle sente qu’elle devient un peu se calme. Puis je ne pouvais pas me sortir de l’esprit qu’il était jeune.
« Désolé de cette question qui est hors sujet de votre métier, mais, vous étudiant ? Je veux dire que vous avais l’air d’avoir un peu pet 17 ans et je vois que peux de jeune travailler, cela ne vous dérange pas qu’on discute une peu autre chose que mes achats ? »
Je préfère pose la question avant de me pressente après tout peut-être qu’il voulait juste me voir quitte se magasin et tout simple qu’il était timide ou ne c’est jamais. Je préfère discute avec qu’elle qu’il voulait que celui qui sans contre fiche.
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Le stress de la première rencontre et la surprise passe doucement. Tu n’es certes toujours pas à l’aise publiquement, et ça se voit par le fait que tu as tendance à tirer sur les manches de ton hoodie, ou encore que ta queue semble se balancer d’un air presque robotique : rapide, coincé, malaisant. Tu es là, tenant tes gâteries dans tes mains comme si tu savais quoi en faire. Tu aimes aider les animaux dans l’animalerie… mais les gens, c’est une autre histoire. Ça ne s’apprivoise pas, quelqu’un. Ça peut répondre, un humain, et te juger, et te laisser savoir que ta différence les intrigue. Bref, tout ce genre de chose que tu ne retrouves pas chez les animaux. Et ce n’est pas de la mauvaise foi, mais plutôt une habitude à recevoir les même comportements et commentaires tous les jours, même s’ils ne sont pas directement dit en plein visage.
Bref, la personne face à toi t’annonce qu’elle prendra tout le contenu de tes mains. Tu remarques qu’elle semblerait avoir d’autres achats à faire aussi, et qu’il serait peut-être plus ingénieux de transporter ses articles dans un petit caddie de l’animalerie, nouvelle acquisition récente également. C’est pourquoi à ses paroles, tu hoches la tête puis tu prends un des petits transporteurs d’achat pour y déposer ce qui est déjà considéré comme vendu. Te voyant faire, ton père reste en retrait, te faisant signe de continuer. Docile que tu es, tu hoches la tête doucement, et t’avance de nouveau vers la cliente, ses articles désormais plus facilement transportables.
Avec le caddie, je pense que ce sera plus facile de poursuivre vos achats, comme il vous manque d’autre choses. Je vais juste terminer le processus pour la médaille de votre chien et après je vais vous montrer la nourriture à l’agneau.
Dis-tu, prenant la médaille en question pour la glisser dans une petite enveloppe prévue à cet effet. Tu t’assures que tous les traits sont clairs et précis avant de sceller le tout, le donnant à son propriétaire. Mais alors que tu t ‘apprêtes à partir vers la nourriture, elle te mentionne u collier, et comme vous êtes déjà tout près, tu décides de changer l’ordre des choses et de commencer par ce dernier. Tu regardes les grandeurs puis tu lui tends celui qui entre dans la charte des grandeurs pour les Akita Inu. C’est un collier rouge possédant quelques petits boutons métalliques assez sobre, c’est la chose qui ressemble le plus à sa demande.
Je sais qu’il n’est pas que rouge, mais celui-ci semble être le plus près de votre description… certains détenteurs de chiens m’ont confirmés que les boutons ne posaient pas d’inconfort comme ils sont intégrés au cuir, donc ce modèle devrait vous convenir.
Définitivement, tu t’améliores quoique tu es toujours un peu inconfortable de parler. Tu te frottes la main sur la nuque avant d’avancer en directions des nombreux sacs de nourritures pour chiens, chats et autres animaux de toute sorte. Tu regardes les sortes, et en prend trois principales.
Je pense que ces trois sortes-là sont les favorites. Il faudra commencer graduellement si vous changer son alimentation, sinon ça peut causer des troubles digestifs. Je crois… c’est ce que mon père m’a dit. Il faudra donc mélanger l’ancienne nourriture avec la nouvelle avant de donner seulement celle-là. Je vous conseillerais de prendre le petit sac en premier pour voir s’il l’aime bien, et revenir en chercher plus tard s’il l’aime.
Vraiment de mieux en mieux, se dit sûrement ton père en repartant vers l’arrière-boutique, te laissant seul avec cette femme. L’engouement qui l’avait forcé à t’appeler en renfort semblait calmé désormais, mais tu ne vas pas t’en sauver pour autant. Puis après, sa question te surprend un peu. Tu considères que ce n’est peut-être pas prudent de répondre, ou qu’il s’agit peut-être d’une façon de rire de toi, mais quand on te demande quelque choses, rare sont les fois où tu ne répondais pas.
Je- enfin, oui je suis étudiant. À Daiki, pour être plus précis. Pourquoi cette question, au juste ? Ça ne me dérange pas de discuter, non.
Tête en l’air, je ne savais plus quoi pense, je voulais achète tellement de choses, mais en vrai, a regardais mes petit bras, je ne pouvais pas tout prendre, a crois que j’avais oublie se détailler, on se prendre parfois trop pour des super-héros de nos jours. Le faite de devenir une héroïne me fis prendre la tête ou alors je me prenne pour la plus puissante de tout ? Alors un petit moment, un caddie ne sera pas de la Luxe et me voilà servie. C’est incroyable que se vendez sut, m’offrit de plus beaux cadeaux. Moi-même je n’orrais pas pense a cela, un caddie. Il me tendis, une envolée avec le médaillon
« merci »
Après tout cela était, la moindre de politesse, je demande donc le collier pour ai et le jeune homme me ramène vers eux enfin, un nouveau collier. Après tout l’amour que tu portes pour elle, cela fut normal. Un collier rouge avec quelque petit truc, en plus cela reste sobre et classe, après tout cela serait mieux qu’une couleur unique ? Je regardais le collier hésiter un petit moment. Je ne savais pas quoi en pense réellement, il était beau, tu te poses des questions, si cela allait avec Ai, je voulais qu’elle est magnifique. Après une petite discussion des avantages du collier, je le pris.
« Cela pourrait parfaitement allais avec elle ! »
Ai fait la fière comme ci, elle savait qu’on parle d’elle. Elle avait raison après tout, elle était la seule est unique personne sur cette plante et si seulement, je savais se qu’ils vont se passe par la suite. Je n’avais pas idée à quel point, elle était la seule qui sera l’à vie. Je ne pense pas que tout pouvoir rechercher et pourtant. Pourtant l’homme devant moi avait l’air mal à l’aise. Je me pose les questions, si cette moi le problème après tout, je ne connais pas la vie des jeunes. J’avais que peut de contact surtout que cela faisait que quelque mois que je commence a être renouveau jeune dans ma tête. Sans problème adulte, donc je commence à m’ouvrir aux autres. Tu écoutes se qu’il te disait, change doucement de nourriture, d’accord, je prenne note dans ma tête. Parfait, je ne voulais pas que ma chérie tombe malade par ma faute. Je pris le sac le plus cher et qui convenais le mieux a ma chérie.
« Parfait, je crois qu’on n’a tout »
Je commence a revoir tous mes cours, cela fera un pack, je repense une chose, jetait seule avec Ai comment je vais amène tout cela chez moi ? Ah je suis parfois, un peu bête ou alors se sont les cours de héros qui font cela, je pense toujours que je n’ai pas besoin d’aide et que je peux me débrayer seule, mais cela est bien faut. Je fixe un peu Ai avec un sourire chercher une solution. Sur le chemin de la caisse, je garde se souris.
« Merci pour tout, en tout cas, j’ai appris beaucoup de choses et qui fera de cette petite prises une chienne des plus heureux garde-à-vous ! »
Je reste des plus poli possible, je chercher aussi a savoir pourquoi, il était aussi mal à l’aise. Toujours dans l’idée que je suis une peu fautive là-dedans. Je reste des plus calmes possible et surtout avec une petite souris aux coins des lèvres.
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Plus le temps avance, moins tu te sens confortable à parler. Tu commence à te demander si c'est ce que papa aurait dit, si tes conseils ont vraiment de la valeur. Pourtant, au nombre d'heure que tu avais passé en compagnie de tes deux parents tu aurais tendance à croire que tu commences à être pas si mal pour aider les gens avec leurs achats. Malgré ton alter, et malgré le boulot que font tes parents, tu n'as jamais vraiment cherché à en apprendre plus sur les besoins des animaux, ou encore sur comment maintenir une santé continuelle chez les différents animaux qui sont pris en charge à l'animalerie… surtout puisque personne en te l'a demandé.
Mais s'il y a bien une chose que tu sais, c'est que tu as réussi à faire la journée de cette fille et de son chien, qui semble très contente d'avoir ce nouveau collier. Tu prends le code-barre dans tes mains pour pouvoir laisser le collier sur le chien et qu'il soit confortable sur avec ce dernier, sans être au pris avec cette étiquette qui peut lui piquer, voir la blesser. C'est la dernière chose que tu voudrais faire, blesser le chien d'un client. Papa et maman ne seraient pas content, et la cliente non plus. Tu ajoutes le code barre à celui du médaillon près de la caisse enregistreuse et retourne vers la cliente.
Ça lui va vraiment bien, ce collier. Je pense que c'est un bon choix.
C'est rare que tu donnes ton opinion, mais celle-ci est sincère et pas simplement pour vendre les produits. Tu vois aussi que la chienne en question semble très contente de cet achat, donc ça te convient. Tu te rends néanmoins vite compte que tes conseils sont bien donnés, mais que ton malaise visible lors de tes interactions est noté par la cliente, et même si tu sais que ce serait mieux d'essayer d'améliorer ça… tu ne sais pas trop comment faire. Comment avoir l'air de quelqu'un qui sait interagir avec les autres ? Comment avoir une discussion avec quelqu'un qu'on ne connait pas ? Les héros professionnels doivent bien savoir comment faire, sinon les interviews et les rencontres avec des civils doivent être… pénible. Il faudra que tu t'y mettes, toi aussi.
Oh mais… derien. Je suis désolé que vous n'ayez pas pu avoir l'aide de mon père, c'est lui le grand expert de la place. Je pense avoir su bien vous conseiller et je-
Alors que tu répondais aux dernières paroles de la jeune fille, tu entends des pas derrière toi, ainsi qu'un rire jovial que tu reconnais trop bien : celui de ton père. Il venait probablement de descendre de l'appartement situé juste au-dessus pour voir si tout allait bien, et avait entendu au passage des bribes de conversation.
Mais voyons, Cheshako-chan. Tu sais ce que tu fais depuis le temps. Pardonnez mon fils, jeune demoiselle, le pauvre manque d'assurance parfois. Tu sais, rien ne t'empêche de faire connaissance avec les clients, mon fils ?
Je- Oui, père, excusez-moi.
Comme tu te devais d'obéir à ton père, non pas car il est strict, mais plutôt parce qu'il a une sorte d'autorité sur toi, tu relèves la tête vers la jeune femme, décidé à essayer d'avoir une conversation normale avec cette cliente. Ton père te regarde faire, soupirant intérieurement et se disant que tu t'en mets trop pour rien sur les épaules. Il te laisse faire, allant vers l'arrière-boutique. Tu commences donc à discuter, en même temps de procéder au paiement.
Ça fera 250 yens, s'il vous plaît. Est-ce que vous aussi, vous suivez le cursus héroïque d'une des écoles ?
Sujet facile, échappatoire certain et discussion garantie, tu venais d'accomplir ce que ton père venait de te demander, comme à chaque fois qu'une autorité quelconque te demandait quelque chose, d'ailleurs…
Je regarde un peu tout, le collier allez bien a Ai, elle fait la folle avec sa tête sur le côté, en mode je suis belle, maman ta vue ? Ta vu que je suis belle ? J’avais l’impression qu’elle me disait réellement cela. Je commence a regarde le jeune homme quand celui s’excuse, il n’avait pas besoin. Son père était doué ? Et bien il me semble que ce jeune homme n’a pas idée a quelques point, il avait un don pour vendre de petits objets ! Il m’avait convaincu par sa façon de parler et cela se voyait qui ne connaît pas mal de chose même, s’il était timide. Je me souviens que mon même a une époque j’avais était timide de parle de mon passé, je ne laisse personne rentre dans ma vie, enfin maintenant cela n’est plus le même. Un sourire en lèvres, on avais appris à aime la vie et ne plus me soucis de mes problèmes une vie des plus normale, si seulement je me rendais compte que jamais je ne mérite une vie, comme les autres quand quelques semaine, je finir dans les rues quand je ne suis pas dans le dortoir de Yuei avec Ai. Alors un type plus vieux arrive pour pardonne son fils, donc ce le père ? Je voyais un peu de pression et disons que je n’aime pas trop cela, d’accord qu’il voulait aidez son fils, mais bon, s’il n’était pas prêt pour discuter avec une inconnue, il avait le droit ! Mais, bon, je fis un sourire avant de la suite à la caisse pour payer. Arrive en caisse alors qu’il me donne le prix pour payer le tout, je lui donne alors qu’il me pose une question, je lui fis un souris.
« Si, tu ne te sens pas malaisé, tu n’es pas obligé qu’on faisait connaissance. Tu as le temps ! Mais je ne suis pas contre, je veux juste que cela vienne de toi et non pas parce que quelqu’un de la demande.. »
J’avais une voix poussée, calme, toujours avec un souris et Ai qui était assis à mes pieds avec la tête sur le côté, je pense qu’elle essaye de se regarde dans le vitré pour voir, si elle était super jolie. Bien qu’elle venait me chercher la main pour que je la caresse. « Mais, oui, je suis à Yuei et toi ? J’ai un futur héros face de moi ? Surement vu le coup de main que tu m’as donné. »
J’essaye de diminuer la pression dans l’air afin de le voir souffrir, mais pas un faux un vrai. Après tout, on pouvait devenir amis, si il voulait, mais je ne voulais que son vient de son père, mais plutôt de ça par… on ne peut pas toujours aime la compagnie, cela m’avait demandé du temps pour faire confiance à Sena pour accepter son aidez. Quand quelque jours, je quitte tout et jurerais tellement voulais ne jamais voulut accepter d’être aidé. Quitte mes amis. Pour leur sécurité.
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YASEI Cheshako
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Tu reçois l'argent et, par réflexe, tu recomptes pour t'assurer du montant. Tu dois le faire, c'est ce que mama t'as appris. Toujours recompter, puis donner le change après. Lorsque le montant n'est pas le bon, le dire poliment. Bref, elle t'avait tout appris par rapport à la fin des transactions avec les clients. Bref, tu remarques rapidement la joie du petit Akita qui semble cherche l'attention de sa maîtresse, et ce, pendant de longues minutes. Ça te fait rire, parce que tu n'y es pas habitué. Les animaux de l'animalerie ne t'appartiennent pas, et la plupart vous considère plus comme des nourrisseur qu'une famille. Ils sont souvent plus mignons et amicaux avec les clients, probablement parce qu'une partie d'eux sait qu'ils sont leur porte de sortie des différents enclos de l'endroit. Bref, une fois le change donné, et ton père ayant quitté les lieux, la jeune femme te parle et tu penches la tête une fois qu'elle a fini, un peu comme Ai. Tes oreilles se plient sur elles-mêmes, laissant savoir ta confusion. Ta queue fouette l'air, puis sans expressions, tu demandes :
Mais… pourquoi je ne ferais pas quelque chose qui m'est demandé ? N'agissez-vous donc pas non plus seulement sous la demande des autres ?
Parce que toi, c'est comme ça que tu avais toujours vu la vie : tu es un automate, qui suit les instructions d'une vie qu'on lui dicte. Tout comme toi avec les animaux qui sont créés par ton Alter : tu dictes, ils exécutent, point final. Et comme tu as cet Alter.., tu as toujours cru que ça s'appliquait à toi aussi, avec les gens qui ont un minimum d'influence et de pouvoir sur toi. N'est-ce pas comme ça que sont éduqués tous les enfants de l'ancienne Tokyo ? Étais-tu seul à voir les choses de la sorte ? Avais-tu été seul tout ce temps à voir les choses de la sorte..? Pris dans ta curiosité, tu redresses les oreilles une fois qu'elle parle de nouveau, ta tête suivant aussi le mouvement alors que tu souris. Elle vient donc de Yuei. Tu connais peu les autres écoles de l'ancienne Tokyo parce que tu en avais beaucoup appris sur Daiki plus que sur les autres, et, n'ayant pas reçu l'instruction de chercher à en savoir plus sur les autres école (et en ayant parlé dans un cours ou deux lors de ta première année), tu n'en sais pas grand-chose.
Oh, moi, je suis élève à Daiki. Je suis le cursus héroïque, certes, mais aider ici est loin de ressembler à ce qu'on fait dans nos cours… ce n'est rien, vraiment.
Dis-tu avant de regarder l'heure, remarquant que c'était bientôt l'heure de changer les différents bols d'eau pour la remplacer par de l'eau fraîche. Tu commences par ceux qui sont près de la femme, lui faisant signe de le suivre si elle voulait continuer la discussion. Une fois tous les bols d'eaux vides et en main, tu commences à remplir pour donner à chacun des animaux son petit bol d'eau fraîche. Tu reviens ensuite près de la femme, un sourire toujours accroché à tes lèvre alors que tu devient un peu plus confortable.
Comment c'est, Yuei ? Je ne connais pas vraiment les autres écoles, ce serait peut-être intéressant d'en apprendre plus. Qui sait, peut-être allons-nous avoir un combat d'arène un de ces quatre.
Dis-tu, même si tu n'es pas vraiment le genre d'étudiant intéressé par ce genre d'activité… tu sais bien qu'un professeur te le demandera un jour, et tu écouteras, comme d'habitude. Parce que c'est au travers des autres que tu arrives à fonctionner.
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