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On nomma ce terrible jour comme tel : la Trahison. La figure d’espoir ayant abandonné les siens ainsi que sa patrie, le visage du Japon changea du tout au tout. On savait les Alters dangereux, mais à quel point ?

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 Sin of Wrath [Terminée]

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Sjörgen Astrid
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Dim 8 Nov - 15:12

Wrath

Nom : Sjörgen
Prénom : Astrid
Âge : 28
Sexe : Féminin
Orientation : Bisexuelle
Occupation : Civile
Métier : Ouvrière en abattoir, justicière à ses heures perdues
Feat : Yorha A2 - Nier Automata
Alter
Electrolysis
Electrolysis transforme le corps d'Astrid en centrale électrique bipède, affolant les détecteurs de tension par sa simple présence. Son métabolisme se retrouve, par les conséquences de cet Alter particulièrement gourmand en énergie, dans un état perpétuel de fonctionnement accéléré. Entre son hypertension constante et son rythme cardiaque anormalement élevé même au repos, ce pouvoir n'est sans doute pas étranger au tempérament explosif de la demoiselle qui est, paradoxalement, source de son affaiblissement.  
Specifications et contraintes
Si cet Alter affole le système nerveux d'Astrid, conférant à ses réflexes, sa vitesse et sa force une dimension pour le moins surhumaine, il contribue également à la rendre plutôt irritable lorsqu'elle est en surcharge, ce dans le but d'évacuer le trop plein d'énergie présent dans son corps, se laisser aller aux excès d'émotions étant l'unique moyen dont elle dispose pour se soulager. Notez qu'il est pour le moins dangereux d'être proche d'elle durant ses crises  difficilement contrôlables, l'électricité s'échappant par tout les pores de sa peau, vos cheveux risqueraient rapidement de se dresser sur votre tête si vous la touchiez pendant ce processus.

Même s'il lui est possible de faire un usage bénéfique, sur le plan médical, de son propre électricité, cela demande un sang-froid et une maîtrise qu'elle peut assez rarement réunir.

A noter que les Alters d'assimilation électrique et autres principes d'absorption d'énergie sont l'arme ultime contre Electrolysis. Si vous êtes en mesure d'aspirer l'énergie produite par son corps ou bien celle dont ce dernier a besoin pour produire de l'électricité, vous n'aurez guère davantage qu'une femme faiblarde dont les batteries sont littéralement vides face à vous. Ce serait toutefois dommage d'en abuser quand l'on sait que, même si c'est à 200% pour le commun des mortels, son électricité est à la fois son moyen de lutte et de survie...

Description


Astrid


Il arrive bien souvent qu’une interrogation en particulier brûle les lèvres des gens amenés à poser les yeux sur toi.

« D’ou vient cette brûlure ? »

En effet, bien que tu sois loin de chercher à dissimuler cette blessure pour ne pas avoir à en assumer l’origine, c’est justement pour éviter ce genre de questions que ta longue chevelure immaculée est conservée la majeure partie du temps sans aucune attache, lui permettant d’épouser harmonieusement ce visage aux traits quelques peu éprouvés, une impression finalement renforcée par ce stigmate rayonnant sur ton bras dissimulé au public, ayant manqué d’éteindre l’une des lueurs célestes éclairant cette peau dont le soleil ne semble pas avoir eu d’influence prononcée sur le teint.

L’on ne peut en effet pas dire que tu aspires à autre chose qu’à demeurer dans l’anonymat, à ne pas te faire remarquer en aucune façon… que ce soit la gratitude ou bien l’aversion, ces deux notions ont depuis bien longtemps perdu toute signification à tes yeux. Tout comme ta confiance en ce pays...ainsi que tout respect envers ce modèle politique. Mais si ta tête est encore sur tes épaules, c’est bien car tu te gardes de t’épandre sur tes opinions à ce sujet. Qui cela intéresserait-il de toute manière ? Comme tout un chacun, tu n’as fait que t’adapter à cette société qui te déranges, une phase tempétueuse de ton existence qui finira forcément, un jour, par laisser place aux rayons du soleil.

Outre ta santé douteuse, tu as pourtant toujours veillé à t’entretenir physiquement. La nature t’ayant accordé la faveur d’atteindre les deux mètres de haut, tu as su faire de ton corps brut une sculpture pour le moins athlétique et généreusement proportionnée, sous tout les aspects. Un physique développé et sobrement mis en valeur. Ta garde robe se résumant en une simple phrase : Cuir et lin.


Wrath


Ton attitude se révèle pourtant contradictoire lorsque cette réalité dans laquelle tu baignes aujourd’hui se présente à toi. Qu’il s’agisse d’un policier abusant de son autorité sur un jeune homme dont la véracité du crime n’est pas établie ou bien d’un malfrat violentant une personne âgée, tu te ficheras bien des règles en place et de ton habituelle discrétion. Si leur donner la correction qu’ils méritent et les ramener aux autorités compétentes te vaut un blâme ou quelconque sanction, après tout, ce ne sera jamais toi qui aura réellement été en tort. A défaut d’user de ton pouvoir, il faut bien que tu évacues la rage sourde qui t’habites lorsqu’elle se réveille, non ?  

La plupart du temps néanmoins, ton esprit mesuré conserve le dessus. Bien que ton regard d’émeraude aie vu depuis des années sa lueur ternie par cette colère froide rongeant ton être, la lumière de ton regard n’est pas encore complètement éteinte. Rompue aux arts martiaux, atténuant légèrement ta rudesse, les valeurs que t’ont conférées ces différentes disciplines parviennent à raviver ce qu’il reste de bon en toi.

Pourtant loin d’être vertueuse car ton impulsivité a fait de toi sa marionnette, la consommation régulière d’alcool n’est pas pour t’apaiser, bien au contraire, lorsque tu en abuses. C’est toutefois la seule chose à laquelle tu sois parvenue à te raccrocher après la Trahison, l’évènement source de ce que tu es devenue aujourd’hui.


Histoire


Ton histoire débuta en une froide soirée de décembre 2022. Au sein du firmament débutait l’hiver astral et dans la salle ou ta figure maternelle se trouvait, au terme d’une série de contractions douloureuses, un cri vint finalement briser l’insoutenable silence s’étant installé. Ton premier éclat de voix. Deuxième enfant d’une famille fondée cinq ans plus tôt, tu fus la troisième source d’un bonheur indescriptible pour la femme t’ayant mise au monde, Thea.

L’on peut même dire que pour ton géniteur, ta naissance fut ce rayon de soleil dissipant la brume nimbant alors sa vie. Deuxième enfant d’une famille aux origines purement Suédoises, tu n’auras pourtant humé que l’air du Japon lors de ta première respiration. Le paternel s’étant laissé conquérir par son goût de l’aventure et son intérêt pour le risque et l’inconnu, lui qui avait bercé dans les Fjords scandinaves fit le choix il y a de cela deux ans de survoler l’Europe afin de fonder au sein du Pays du Soleil Levant son propre commerce de bouche en s’initiant aux traditions locales. Grand voyageur parmi les voyageurs, la réalité du terrain le rattrapa toutefois assez amèrement. D’une vie de famille heureuse sur la côte de leurs ancêtres, tes parents se seront délocalisés dans un quartier qui, sans être boudé, était étrangement allochtone au sein de la capitale.

Cette réalité, tu seras toutefois loin d’être capable de la comprendre avant que tu ne puisses appeler un chat un chat et te faire réprimander parce que tu as encore voulu essayer les couteaux de papa, qui auraient très bien pu entailler ta propre chair avant celle du saumon sur lequel tu as louché et bavé pendant dix minutes. Ton frère n’était pas beaucoup plus âgé que toi mais faisait déjà souvent montre d’un tempérament assez protecteur envers la furie qu’était sa petite sœur dont l’éveil de l’Alter se faisait toujours attendre...principalement car malgré ton jeune âge tu semblais déjà ne pas craindre la mort. Ou étaient les risques de se pencher en avant, sur le rebord d’un immeuble de plusieurs étages ? Que risquais-tu à approcher un chien quelque peu décharné en train de ronger son os ? Témérité ou inconscience obstinée, les dangers les plus évidents ne t’auront jamais insufflé la volonté de faire marche arrière lorsque ta curiosité prenait le dessus.. au grand dam de ceux à qui incombait la tâche de veiller sur toi et de t’élever dans cette terre qu’eux-mêmes découvrait.

Ce fut d’ailleurs probablement une des raisons de ton enfance casanière, assez éloignée des autres enfants que tu côtoyais en milieu scolaire mais qui, à vrai dire, ne se souciaient pas vraiment de toi hormis lorsqu’ils voyaient pour la première fois ton regard de saphir entouré de cette chevelure neigeuse naissante. Tu étais l’une de ces enfants dont la famille craignait de voir leur fille tomber entre les griffes d’adultes pernicieux, tant ta propre mère s’imaginait la sublime jeune femme que tu deviendrais.  Elle était pourtant bien loin de s’imaginer ce que tu traverserais et ce que cela éveillerait chez toi.

En dépit de la solitude plus ou moins forcée que tu vivais, ton cœur ne souffrait d’aucun manque. Perpétuellement plongé dans tout les ouvrages que tu pouvais trouver mentionnant ton pays d’origine, ses paysages à couper le souffle, mais surtout cette culture, ces valeurs y étant liées, celles-là même que ton frère, lui qui avait eu la chance d’y vivre quelques années, tenait tout particulièrement à te voir adopter afin que tu suives la même route que lui. La rigueur et l’excellence en vue d’intégrer Yuei et de se hisser au dessus de la masse inconsidérée qui vivait finalement en Shinjuku.  

Malheureusement, au terme de ta période infantile vint l’adolescence. Cette période redoutée des parents pour les difficultés de gestion de leur progéniture qui y sont liées… et même si la présence de ton frère Ludvig muselait en elle seule une grande part de ton mauvais caractère, tu héritas de la tendance maternelle à n’en faire strictement qu’à ta tête peu importe les recommandations et mises en garde que l’on pouvait te faire. Ce fut en réalité l’éveil de ton Alter, passé assez inaperçu jusque-là, qui fut la cause principale de ce tempérament explosif naissant. Si jusque-là tu avais été assez discrète au fil de ton cursus, te contentant d’ignorer toutes les remarques désobligeantes faites à ton égard ainsi que les regards insistants qui, à l’âge ou tu étais, commençaient à se faire indiscrets, cela changea du tout au tout. Si l’autorité parentale ainsi que celle attribuée à tes enseignants et autres professeurs de loisirs faisaient encore partie des notions que tu respectais, il en était tout autre pour les jeunes freluquets qui crachaient par terre juste avant ton passage ou bien ceux dont la main atterrissait malencontreusement sous ta jupe, soi dit en passant un uniforme que tu exécrais particulièrement.

Ironiquement, si jusque-là le concept de ton Alter t’étais inconnu, allant presque jusqu’à penser que tu n’en possédais pas, c’est un de ces malheureux jeunes hommes en quête de virilité qui te permis de réaliser que ton corps était une source intarissable d’électricité qui rendait ton organisme bien plus puissant et réactif que la normale. Il avait certes vingt centimètres et vingt kilos de plus que toi, ça ne l’empêcha pas d’y laisser une dent lorsque tu lui appris ce qu’il en coûtait de vouloir poser les mains sur ta poitrine naissante sans ton autorisation. Sur l’aspect scolaire de ton adolescence, l’on peut dire que ce fut le début d’accrochages assez réguliers que tu parvins toutefois à minimiser une fois leur origine réalisée. A défaut de sacs de chair, c’est sur des sacs de frappe que la majeure partie de ton trop plein de vélocité se verra évacué.

Mais à toute rude période, sa lumière. 2036 fut l’année ou ta première sœur vit le jour, atténuant depuis par sa simple présence ta rage interne, comme si en sa simple vision résidait un pouvoir d’inhibition. Bien loin des ambitions héroïques de ton frère, cloisonnée à la filière classique d’éducation, ce choix aura ironiquement le mérite de t’accorder le temps nécessaire pour devenir le véritable exemple de la dernière née… bien que de ton propre aveu ce ne soit pas forcément la plus sage décision.

Car l’heure était venue pour l’héroïne de l’ombre sommeillant en toi de se manifester. Somme toute insatisfaite de la vision qu’inculquait alors l’unique école apte à former les héros quant au principes de justice et de paix, tu n’y voyais guère davantage qu’un moyen d’exacerber les tensions sociales dont tu avait déjà pu témoigner pas plus loin que dans les rues voisines. Un Français passé à tabac par plusieurs Yakuzas avant qu’il ne parvienne à les faire fuir, prenant quelques unes des vies de ses agresseurs par l’usage de son Alter. L’arrivée quasi-immédiate des forces de l’ordre qui, à défaut de pouvoir l’embarquer sans ménagement comme ils le souhaitaient, l’ont froidement abattu, quand bien même il n’avait à tes yeux rien fait de mal. Ce commerçant méritant chez lequel tu avais réussi à te faire embaucher les week-ends pour commencer à vivre par tes propres revenus, arrêté par ces mêmes forces de l’ordre que tu cessa dès lors d’idéaliser, apprenant qu’une partie d’entre eux obéissaient sans doute davantage aux Yakuzas qu’à leur véritable hiérarchie. A ce stade ou seule une partie des héros méritait encore une réelle estime de ta part dans ce pays ou tu ne te sentais définitivement pas à ta place, la décision d’y remettre un minimum d’ordre germa enfin dans ton esprit.

Troquant tes habits classiques pour une tenue plus près du corps, vaguement inspirée de l’uniforme héroïque de ton frère, tu te mis à arpenter les rues occasionnellement lorsque tu n’avais rien de mieux à faire. C’était illégal, mais qu’en avais-tu à faire. Puisque la police était corrompue et que même une grande part des héros étaient gangrenés par ce que tu jugeais une indicible lâcheté, une inexcusable corruption. il fallait bien que la balance se trouve équilibrée par autant de vertueux justiciers. A cette époque encore, Solem rayonnait. Mais à tes yeux, si puissant un seul homme puisse être, il ne peut tout faire. Le numéro un était toutefois bien assez inspirant pour être épaulé par suffisamment d’acolytes...mais ces héros étaient-ils tous dignes ? Tu en doutais fortement.

Ton héroïsme à la petite semaine aura également fini par te coûter relativement cher. Ce soir-là, tu aurais mieux fait de rentrer sereinement chez toi, ignorant cette voiture fauchant un piéton innocent. Tu n’aurais pas dû gaspiller ton énergie à la poursuivre, profitant d’un arrêt pour en extirper le conducteur sans ménagement. Tu n’avais que seize ans, ils étaient quatre. Une ruelle protégée des regards indiscrets n’était pas loin, et à cette heure le quartier s’était révélé plutôt vide. Ton pouvoir n'avait pu que se retourner contre toi, l'un des pernicieux usant de ta propre foudre à ton encontre, te laissant aujourd'hui encore cette brûlure comme un tatouage défigurant la moitié gauche de ton corps. Ce fut bref mais personne ne t’avais entendu crier et te débattre n’avait servi à rien. Ta volonté d’apporter la justice ce soir-là ne t’avais valu qu’un poids dont tu ne souhaitais plus évoquer l’origine. Neuf mois plus tard, la délivrance...mais aussi l’assommoir, par ta propre morale. Tu t’étais obstinée à ne rien dire, à cacher cette prise de poids aussi soudaine qu’injustifiée, jusqu’à ce qu’un retour en arrière soit impossible. Mais la vérité fut bien vite découverte et tu ne t’attiras finalement que le désaveu de tes proches qui considéraient alors l’enfant à naître comme une punition suffisante pour t’apprendre à ne pas abuser de ton désir d’autonomie. Ils ne t’abandonnèrent pas, ne te renièrent pas, mais t’obligèrent dès lors, sans cesser de te soutenir ou même de subvenir à tes besoins, à assurer seule la survie de cette enfant que tu n’aimais pas. Rongée par ta propre honte, combien de fois avais-tu songé à la laisser tomber accidentellement par la fenêtre, avant que ton esprit rationnel ne te rattrapes ? Tant et si bien qu’il s’éteignait peu à peu, ton aîné veillant toutefois à ce qu’il ne sombre pas, bien que tu ne puisses t’en prendre qu’à toi-même.

Cela n’allait malheureusement pas durer. La chasse au vilain devenant pour toi plus une nécessité grâce a l’argent à la clé qu’un plaisir de livrer un criminel aux autorités, ne t’adonnant pourtant à cette traque qu’en dehors des horaires incombant au premier petit boulot que tu aies pu décrocher, ayant au moins la chance de le conserver jusqu’à présent, les revenus que tu parvenais à récolter servirent bientôt davantage à la tranquillité du foyer dans sa globalité plutôt qu’à ton confort personnel. Même si ta génitrice conservait son modeste emploi de technicienne, le rêve du maître de maison finit par ressembler davantage à un cauchemar engloutissant aussi bien sa motivation que les économies familiales, le paternel étant allé jusqu’à contracter de conséquentes dettes afin de tenter de raviver jusqu’à la dernière seconde son affaire condamnée. Sans doute étais-tu trop reconnaissante envers ce couple t’ayant donné la vie pour t’abandonner par la suite quand tu aurais espéré te reposer sur eux, mais tu te sentais tout de même redevable et ne pouvais te résoudre à ne pas leur apporter un minimum d’aide financière, quand bien même cela te privait d’une indépendance souhaitée.

Ta présence se révélera pourtant indispensable dans le futur. En particulier depuis ce jour maudit considéré comme la Trahison, ou un pan entier de la puissance Japonaise fut réduit en cendres. Tu te souviendras sans doute toute ta vie de cette soirée ou tu étais rivée devant les chaînes d’informations, en compagnie de tes parents, de ta sœur mais aussi de cette fille que tu peines toujours à accepter. Ce soir là, quatre personnes étaient dans l’attente d’une cinquième qui ne revint jamais. Ce jour maudit ou ton frère entamait justement son nouveau contrat signé à Kawasaki fut aussi son dernier. Un silence de mort avait régné jusqu’à ce que tu ne préfères t’éclipser, ton cœur expérimentant alors un sentiment nouveau. Outre la colère habituelle provoquée par ton Alter, c’est de haine que tu brûlais en cet instant. Si le pilier des héros n’était qu’un lâche considérant sa vie plus que la population pour laquelle il devrait être prêt à la donner, que penser des autres ? Conclusion sans doute aussi aveugle qu’hâtive, à tes yeux, plus aucun n’était méritant.  

Cela fait cinq ans. Bien que le souvenir de ton frère soit encore présent, l’on peut affirmer sans hésitation que ton deuil est fait. Il n’aurait pas apprécié que tu te lamentes sur son sort en cessant d’avancer. Mais dans quel monde avances-tu ? A l’image de la société toute entière, tu as perdu confiance en l’héroïsme. Les conséquences de cela dépassent toutefois de loin ce que tu aurais pu imaginer. Un pays renfermé sur lui-même, un autoritarisme indéniable...et une crainte renforcée de mourir n’importe quand, pour n’importe quoi. Loin d’avoir raccroché ton costume de justicière en hommage à ton frère, ta bravoure habituelle se fait pourtant moins prononcée. La survie de ta famille reposant sur tes épaules, une pression n’étant pas sans conséquences sur l’intensité de ton addiction, tes voyages tendent de plus à se résumer aux allers-retours entre Ichiyaga et Kamata.


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Tobiihime Kōtetsu
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Sam 14 Nov - 1:16
Coucou !!

Bienvenue à toi sur le forum, d'abord.

J'espère que tu t'y plairas et que tu y trouveras un lieu de détente agréable.

Je voulais m'excuser pour le délai cette semaine. Elle a été particulièrement éprouvante pour moi et même si ce n'Est pas une excuse valable, j'espère que tu ne nous en tiendras pas rigueur.

Merci beaucoup pour ta petite fichette :3

Tu as une jolie plume qui m'a grandement plu à la lecture. C'est rafraîchissant, ça fait du bien <3

Tu es validé !

Civil
Eh bien ! il semblerait que vous ayez déjà une histoire d’écrite au Japon. On ne peut que vous saluer dans la rue d’ailleurs. Du moins, si vous n’êtes pas trop terrifiants. Un homme quelconque vous a accosté aujourd’hui. Juste avant de continuer sa route, il vous a remis une bourse de 50 yens, 260 points de potentiel altérique, une carte indiquant une note, soit le rang C et une réputation neutre. Comme s’il vous connaissait déjà. Peut-être sait-il tout.

Il vous a sommé de remettre votre Journal du Citoyen au gouvernement en place pour éviter une amende et il a quitté.

Curieux personnage.
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