Mise sous tension [PV Astrid]

Mise sous tension

L’environnement était familier. Une zone industrielle, des rues désespérement vides et au milieu de tout ça, un hangar qui ressortait un peu plus que les autres. Tout du moins car c’est dans celui-là que tu devais te rendre aujourd’hui, après la réception d’un message que tu n’attendais plus vraiment.


Simple, clair et conçis. Au moins elle en était capable,contrairement à ce qu’elle t’avais montré la dernière fois. Tant de questions et de constatations qui faisaient que vous n’étiez pas véritablement parties sur de bonnes bases. Il fallait reconnaître que tu l’avais un peu cherchée, quand même, éprouvant une certaine satisfaction à voir sa carapace s’égratigner sous tes yeux. Elle te ressemblait sûrement trop pour que vous puissiez vous tolérer mais au moins elle avait accepté d’honorer ce pour quoi tu avais besoin d’elle...enfin.

Même si ça t’était sorti de la tête, son simple message avait suffit à ce que tu te souviennes de son programme. Essayer physiquement cette combinaison c’était une chose mais ramasser des décharges à plusieurs centaines de milliers de Volts...l’avantage était que ça terminerait le tatouage qui recouvrait déjà la moitié de ton corps. L’inconvénient c’est qu’il ne resterait plus beaucoup de place pour en mettre d’autres. Cela dit, il ne devait pas y avoir de risques. Elle était tout aussi compétente qu’on l’estimait être.

Au premier coup d’oeil, le lieu n’avait vraiment pas changé. Toujours la même luminosité inexistante. Au moins, cette fois, tu n’envoyas rien valser d’un simple pas et n’attiras donc pas l’attention de l’ermite à laquelle appartenait l’endroit. Une fois de plus elle ne semblait pas présente et bien que l’envie de te manifester par des fracas métalliques n’aie traversée ton esprit...c’est d’une façon moins cacophonique que tu annonças ta présence. Une arrivée pour le moins inattendue mais on ne pouvait pas dire que l’ingénieure t’aie laissée d’horaires de rendez-vous ni même de coordonnées. Peut-être qu’elle avait encore la rancune fraîche de la dernière fois ou bien qu’elle n’appréciait pas que tu en aies découvert un peu trop sur elle...bien qu’elle possédait elle aussi quelques bribes d’informations personnelles et qu’à priori cette fois elle bénéficierait d’une vue que personne n’avait eu jusqu’à présent.


En fin de compte il te pressait de l’avoir. Même s’il n’y avait pas des milliers de femmes avec tes proportions dans ce pays ça renforçait toujours un minimum ton anonymat, comparé à des vêtements que tu pouvais porter n’importe quand.

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La propriétaire des lieux ne tarda pas à se révéler. Silencieuse, elle se contenta de se présenter face à son invitée avec laquelle elle échangea un regard avant de l’inviter à la suivre. L’ingénieure était cette fois étrangement calme, se pouvait-il qu’elle soit irritée ? Les mots doux n’étaient sûrement pas une chose qu’elle affectionnait...mais ce genre de dénomination était après tout dans la nature de son hôte. Loin de la voir comme un jouet ou une enfant, c’était seulement un commentaire sur le charme que la mercenaire décelait chez l’autre femme, bien qu’il restait infantilisant aux yeux de la concernée.

Ainsi, sans bruit autre que leurs pas, les deux femmes progressaient dans l’entrepôt jusqu’à ce qu’une lumière ne se présente, tranchant avec l’obscurité ambiante tout en illuminant ce que la mercenaire identifia rapidement comme sa tenue...car avec de telles proportions ça ne pouvait appartenir à Ryuko qui s’y serait probablement noyée. La quasi-trentenaire pris alors la liberté, sans ignorer les paroles de l’ingénieure, d’aller examiner sa commande de plus près, son regard rapidement attiré par ce qui devait être un croquis du résultat final.


Fibres et aluminium étaient loin d’être dissimulés sur le produit en l’état mais cela permettait au moins de constater que le port de cet habit n’entraverait aucunement les mouvements de la personne destinée à la porter.


Restait cependant à faire en sorte que sa venue ne soit pas inutile. La tenue paraissait être pratique et discrète, l’aspect près du corps était souhaité et respecté… mais tout cela avait-il seulement servi à quelque chose ? Il n’y avait pas trente-six façons d’en être certaine et la cliente reçut donc sa tenue des mains de la créatrice, avant de se plier à cette requête qui aurait été suspicieuse dans n’importe quel autre contexte...pour peu que la pudeur aurait alors été une notion dont l’étrangère se préoccupait. C’était loin d’être le cas à présent et c’est sans la moindre gêne que la femme à la chevelure de neige retira ses habits, révélant à nouveau sa blessure dont l’ingénieure avait de toute façon déjà connaissance avant de revêtir ce prototype en veillant à ne rien abîmer.


C’était la première fois qu’elle mettait ce type de combinaison et la sensation était assez étrange. Le point positif c’était que cela restait suffisamment léger et élastique pour ne pas être une gêne. Avec quelque chose pour protéger son visage, on ne verrait donc plus que sa chevelure plutôt caractéristique...mais elle ne devait pas être la seule à posséder cette couleur de cheveux.

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Plus le temps passait, plus l’ingénieure semblait prévoyante. La tenue, c’était une chose, mais voilà que s’y rajoutait, pour l’expérience, une protection faciale et un détail de conception qui faciliterait le renvoi des décharges subies. Bien que ce n’était pas là le véritable but de cet attirail, ça pouvait toujours servir à éviter d’être trop gourmande et de se brûler à nouveau suite à un excès de zèle. Au moins, avec ça, Astrid pouvait être sûre que son corps ne subirait plus les fâcheuses conséquences de son propre Alter...du moins sur l’aspect externe. Pour l’aspect interne...son tempérament suffisait à se rendre compte que ce n’était pas près de changer.


Cette Ryuko ne perdait pas de temps non plus. A peine sa présentation achevée qu’elle se dirigea vers ce qui semblait être un boîtier de contrôle. Les tests commençaient déjà, sans même un préavis ? Quelque peu surprise par l’intensité soudaine de la lumière, l’étrangère plissa les yeux un instant, mais ne sentit rien de particulier. Lorsque la luminosité revint à son niveau précédent, Astrid prit un instant pour constater l’absence d’effet visible sur sa tenue. C’était si efficace que ça ? A moins que la frappe n’aie été faiblement dosée...l’éclat de rire de l’ingénieure viendra rapidement lui fournir une réponse et une impression qu’elle n’aimait pas vraiment, celle de servir plus de jouet que de réel cobaye pour évaluer l’efficience de sa commande. Elle n’allait pas se priver de le faire savoir.


On ne peut pas dire qu’elle se soit retenue en terme de sous-entendus potentiellement blessants si interprétés d’une certaine façon mais si ça pouvait pousser la demoiselle à sauter quelques paliers dans ses phases de tests pour accélérer la chose et aller directement au plus intense, ce ne serait pas un mal. D’autant que ça ne découlait pas d’une réelle colère mais seulement d’un juste retour de bâton. Il paraissait assez évident que l’inventeuse ne pouvait pas voir sa cliente actuelle en peinture et que cette dernière n’allait pas faire grand-chose pour essayer de réparer la brèche, d’autant quand, bien qu’elle en soit fautive par sa pudeur inexistante, on prend un plaisir non dissimulé à la reluquer pas très discrètement. La prochaine décharge serait effectivement l’occasion de tenter à son tour un petit jeu. Lorsqu’elle la verrait approcher, la renvoyer directement à l’envoyeur, du moins sur le sol juste devant celle-ci, était l’opportunité de vérifier que la déflexion soit bel et bien possible. Bien entendu, son renvoi serait agrémenté d’un petit commentaire. Ce n’était pas elle qui avait lancé les plaisanteries mais c’était bien son droit de se glisser dans les failles perçues pour en profiter aussi, non ?


Elle ne put se retenir de rire en continuant de fixer son interlocutrice. Bien qu’elle apprendrait à ses dépens qu’elle n’avait pas en face d’elle une femme à qui il était bon de donner des armes quelque soit leur nature, elle avait non seulement la possibilité de répliquer...mais aussi d’exprimer son ras-le-bol par des moyens plus foudroyants.

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Face à la réaction de l’ingénieure, son regard se plissa instinctivement. La déception était sans doute le mot le plus adapté pour décrire son état d’esprit et pourtant il restait un peu trop léger pour être approprié. Non seulement la réaction de la femme à son jet de foudre ne fut pas du tout celle escomptée, mais ses tympans furent par la suite noyés par un flux de paroles dont elle se surprit à penser qu’il ne finirait jamais. Visiblement, les deux femmes se méprenaient sur bien des points quand à l’idée qu’elles se faisait de l’autre mais, hormis un soupir de lassitude, peu de sons sortiraient désormais des lèvres de l’étrangère. Elle aurait pu corriger point par point les mauvaises interprétations et expliquer plus en détails ce qui l’avait poussée à faire telle ou telle chose mais tout cela semblait si évident à ses yeux qu’elle n’éprouvait aucune envie de gaspiller sa salive inutilement...il fallait juste réfléchir un minimum après tout.

Ainsi demeura-t-elle immobile un instant, jaugeant l’inventeuse du regard en laissant parfois ses yeux glisser ailleurs que sur son visage. Effectivement, il ne semblait pas y avoir grand-chose à regarder. Si c’était intéressant ou agréable en revanche, c’était là une autre question qui resterait sans réponse à en juger par les dires explicites de Ryuko. Cette dernière avait en quelque sorte tendue une perche qui fut acceptée puis renvoyée mais dont le retour avait été décliné de la manière la plus claire possible. Astrid ne pouvait pas vraiment nier qu’elle ait voulu profiter de l’occasion créée par sa pudeur inexistante mais au moins, elle savait maintenant à quoi s’en tenir puisque cela ne donnerait rien. Par ce fait, elle n’avait plus de réelle occasion d’essayer d’être avenante...les relations purement professionnelles n’avaient aucune raison d’être cordiales.


Interrompant sa tirade prématurément, elle retourna se placer dans la zone d’exercice, faisant face à l’accumulateur contre lequel elle avait envie de tenter bien des choses à partir de ce stock d’énergie conséquent qui ne devrait plus tarder à arriver. Sa propre énergie commençait déjà à bouillonner en elle du fait qu’elle n’avait plus eu de rixe vraiment éprouvante depuis bien longtemps. En attendant que l’ingénieure veuille bien passer aux choses sérieuses, elle put s’étirer légèrement avant de s’exprimer à nouveau.


L’âpreté dans toute sa splendeur, comme à son habitude. Elle espérait au moins que le message ait été suffisamment clair ainsi, et redirigea sa concentration sur son adversaire imaginaire. Et si elle s’imaginait, l’espace d’un instant, Solem en lieu et place de cet appareil ? Non, il y avait une bien meilleure cible qui lui venait à l’esprit...

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L’effet du dispositif se renouvela, cette fois sans le moindre avertissement, frappant la mercenaire directement dans le dos. En moins d’une seconde, elle sentit de nouveau son corps entier trembler sous le coup d’une chaleur croissante. Chez n’importe qui d’autre ça n’aurait pas été une nouvelle très rassurante...mais ça voulait seulement dire qu’Astrid débordait d’une énergie nouvelle, son corps étant sans doute proche de la saturation, elle ne contrôlait plus grand-chose, le surplus s’échappant de lui-même avant d’être attiré par le fameux accumulateur. Ses batteries n’avaient sans doute jamais été aussi chargées et la sensation procurée l’aidait grandement à se rappeler de ce fameux jour, la seule fois ou on lui avait véritablement ôté quelque chose tout en l’ayant rendue impuissante. Son poing droit se serra avant qu’elle ne décoche un premier coup dans le vide, laissant s’échapper une part de son énergie qui fut remplacée aussitôt. C’était donc ça, de recevoir un million de volts ? Autant dire que dans cette tenue, si elle se battait à proximité d’installations électriques...mieux valait ne pas s’opposer à elle. Même pour cette femme dont le corps fonctionnait comme un générateur, user à volonté de cette énergie sans craindre la pénurie restait pour l’instant un rêve utopique, temporairement comblé par la présence de cet arc électrique dont elle était l’unique cible. Le temps qu’elle ne s’adapte aux effets de cette nouvelle source d’énergie, un sourire carnassier s’était gravé sur son visage.

La première étape après avoir assimilé le fonctionnement de ce flux...c’était donc de le maîtriser. Tenter de le canaliser pour pouvoir commander sa direction par la suite. A travers la combinaison, la femme avait l’impression de pouvoir sentir la chaleur des pièces de métal ornant ses doigts dont elle remarqua effectivement que les mouvements attiraient la foudre qu’elle parvint assez aisément à rediriger sur l’appareil.  Ne pouvait-elle pas conférer à cela d’autres formes ? L’intensité du courant lui interdisait malheureusement de se concentrer exclusivement sur une tâche puisqu’elle devait continuellement en expulser afin de ne pas surchauffer mais la  mercenaire comprit rapidement que la tenue n’était pas vraiment faite pour former des boules de foudre comme elle l’aurait voulu ici. Le temps que le phénomène ne se forme, l’énergie le constituant était absorbée. Elle n’avait donc toujours aucune maîtrise du courant autre que sa production et son évacuation...on ne pouvait décidément pas tout avoir. L’avantage de ce costume était au moins de lui permettre de frapper à longue distance en concentrant son énergie et plus seulement avec ses poings. En plus bien sûr de protéger son corps d’elle-même.. à ceci près de la chaleur procurée par cette tension qui lui rappelait ce fameux jour, en bien plus long. N’avait-elle donc vraiment gagné aucun potentiel depuis ce jour là ?


L’apport d’énergie s’était subitement arrêté ? Pourquoi ? Son corps tremblait encore dû à l’énergie emmagasinée mais sa chevelure retrouvait lentement sa raideur sauvage habituelle. C’est en se questionnant sur cet arrêt soudain qu’Astrid constata un spectacle...assez surprenant. L’ingénieure s’était rapprochée d’elle avant de s’enquérir de son état  tout en avouant une faute d’inattention. Voilà qui expliquait cette intensité...il y avait sans doute eu bien plus qu’un seul million de volts, ce qui expliquait que les batteries d’Astrid soient toujours pleines à ras-bord...ce qui la poussa justement à s’éloigner un peu de Ryuko.


Esquissa-t-elle seulement avant de se concentrer à nouveau sur l’accumulateur, concentrant autant d’énergie qu’elle le put dans ses avants-bras avant de la relâcher, continuant de se vider jusqu’à un niveau qu’elle estima bien plus raisonnable. Bien qu’elle n’était plus un champ d’électricité statique incontrôlable, sa température ne s’était pas encore adaptée au niveau habituel. Elle était brûlante, son cœur battait à une vitesse inimaginable, comme s’il allait sortir à tout instant..et sa tension était palpable. Néanmoins, tout cela s’arrangerait certainement, elle n’adressa donc qu’un sourire amusé à la jeune femme qui lui faisait face…


… Elle était vraiment en train de pleurer ? Son œil rougeoyant et légèrement humide, ça ne trompait pas. Mais pourquoi ? Se pouvait-il que les mots la blessent bien plus qu’il n’y paraisse ? Astrid aurait-elle touché un point sensible sans même s’en rendre compte ? De son point de vue elle n’avait pourtant rien dit qui se voulait vexant.


Quand bien même ce fut la seule option traversant l’esprit de la nordique, elle ne put s’empêcher d’en rire. C’était assez amusant de voir que sous une carapace aussi ferme pouvait se terrer un cœur aussi attentionné pour des choses si banales. C’était peut-être pour cela qu’elles ne se supportaient pas ? Elles se ressemblaient beaucoup trop pour se tolérer. Toutefois, sur l’instant, ça n’empêcha aucunement Astrid de se rapprocher de la propriétaire des lieux pour lui relever le menton du bout de l’index, pouvant ainsi la regarder droit dans les yeux.


Son doigt effleura alors une esquisse de larme s’écoulant sur la joue de la jeune femme


Conclut-elle simplement sans avoir détaché son regard de celui de son interlocutrice dont elle attendait la réaction.

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Les mots de l’ingénieure dessinèrent un vague sourire sur son visage. Si elles dépassaient un jour la relation vendeuse/cliente ? Etais-ce une façon camouflée de botter en touche ou bien une invitation ? Dans les deux cas, c’était trop alambiqué aux yeux de la fameuse cliente. Son corps se remettait encore de cette petite expérience, ce n’était pas le moment de surcharger son esprit.


Lâcha-t-elle simplement avant de consacrer son attention à la saisie de la première chaise qui entra dans son champ de vision. Maintenant que l’adrénaline retombait, elle pouvait pleinement se rendre compte de tout ce qui n’allait pas. Pourquoi elle avait si chaud ? Pourquoi son coeur battait encore aussi fort ? Au moins, les vertiges et les tremblements s’étaient dissipés mais ça ne devait pas être bon de pousser son corps à un tel niveau de surcharge.


Elle se débarrassa alors du masque et jeta un regard en direction de Ryuko qui, elle, n’avait d’yeux que pour la tenue. Cela la fit douter un instant. Non pas qu’elle accordait de l’importance au fait de se faire reluquer tant que c’était par quelqu’un du même sexe mais elle ne savait pas quoi penser du fait que l’ingénieure semble particulièrement encline à se rincer l’oeil. Après tout ce n’était qu’une conséquence logique de la situation...on ne pouvait pas dire qu’Astrid en aie grand-chose à faire. Du moins, il lui était venu une question plus importante à l’esprit qui nécessitait qu’elle ne se dévêtisse à nouveau, reposant la tenue sur la fameuse chaise avant de se rhabiller partiellement, de manière moins criarde.


Pendant plusieurs minutes, le haut de son corps complètement exposé, son environnement fut complètement occulté de son esprit, le temps qu’elle ne vérifie l’absence complète de blessures supplémentaires. Si seulement elle s’était procurée quelque chose de semblable à l’époque.


Fouillant dans son jean d’une main en même temps, elle conclut sa phrase en tendant le règlement demandé pour ce qu’elle venait d’essayer. Bien qu’elle n’avait pas encore le produit entre les mains, Astrid avait bien pu se rendre compte qu’il serait d’une qualité et d’une utilité indéniable. C’était aussi une façon de s’alléger d’une dette supplémentaire que de payer maintenant, ainsi que d’écourter cette entrevue...pour peu que son interlocutrice en décide ainsi, une fois que la cliente serait complètement vêtue.

« Je crois que je n’ai plus de raison de traîner plus longtemps dans tes pattes ? »