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On nomma ce terrible jour comme tel : la Trahison. La figure d’espoir ayant abandonné les siens ainsi que sa patrie, le visage du Japon changea du tout au tout. On savait les Alters dangereux, mais à quel point ?

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 Ame-no-Ukihashi | Ashikaga Sengo - Terminé

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Ashikaga Sengo
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Ashikaga Sengo
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Sam 19 Déc - 14:17

Ashikaga Sengo

Nom : Ashikaga
Prénom : Sengo
Âge : 17 ans
Sexe : Masculin
Orientation : ? ? ?
Occupation : Étudiant en 2ème année
Feat : Hijikata Toshizō - Hakuōki Shinsengumi Kitan
Alter
Celestial Bridge

Ce pouvoir génère une dimension parallèle dont les yeux de l’utilisateur sont les portes, et qui lui permettent de manipuler la frontière entre cette dimension et le monde réel.
Spécifications et contraintes

En fixant un point, l’utilisateur peut créer, à partir de son œil droit, à ce point très précisément, un trou dans l’espace qui n’est autre qu’un point d’accès à cette dimension parallèle et qui ne subsiste que le temps nécessaire au transport dans la dimension parallèle, et dont la taille varie selon le niveau de maîtrise du pouvoir. En outre l’utilisateur peut lui-même se transporter dans cette dimension, et en sortir, tout comme en sortir tout ce qui est contenu par son œil gauche au point qu’il fixe. Lorsque l’utilisateur sort de sa dimension, il réapparait au point où il a disparu et est incapable de déplacer ce point de réapparition. Il lui est également impossible de transporter dans cette dimension la moindre personne, animal ou forme de vie complexe.

Lors de l’ouverture d’un point d’accès à cette dimension, l’énergie de l’utilisateur est pompée pour l’alimenter, et cela s’avère par conséquent éprouvant. Le principal défaut de ce pouvoir réside dans sa nature imprévisible, puisqu’il est particulièrement difficile à maîtriser, et à un bas-niveau, il est possible que l’utilisateur se transporte lui-même dans sa dimension involontairement.

Si l’utilisateur use trop de son pouvoir de manière volontaire, cela peut avoir des répercussions sur sa vue. Cela peut provoquer des cécités temporaires, et, à terme, des trous maculaires et par extension la perte pure et totale de la vue, et, par conséquent, l’impossibilité d’user de ce pouvoir pour lequel la vue est nécessaire.
Description




Retombé au sol
Le cerf-volant
A égaré son âme.


Qu'il soit aisé ou ardu de mettre des mots sur ce que l'on vois, les lettres sont le miroir du monde et des Hommes. J'appose donc ici, dans ce journal qui m'est précieux, ce qui traverse mon âme en cet instant.

Il serait à propos de me décrire, avant toute chose. Bien que je doute que quelqu'un me lise un jour, peut-être que le fil rouge lié à mon auriculaire mènera ce journal en d'autres mains que les miennes. Cela dit, j'espère que lorsque mon âme traversera Chigaeshi no ōkami, mon corps brûlera avec ces pages. Je dédie donc les prochaines lignes à une description sommaire de cet aspect mortel éphémère.

Ma peau est claire, car je viens du Kantō. Mes ancêtres vécurent dans la province de Shimotsuke pendant des éons, avant de se rapprocher de la Cour du Kansai. Mes cheveux sont noirs, comme toute ma famille, mais les miens sont longs. Comme leur longueur peut s'avérer encombrante dans l'exercice des arts martiaux, il est impératif de les attacher en catogan, avec l'aide d'un tissu blanc. Cela dit, j'aime beaucoup les voir danser autour de moi lorsque je me meus dans la valse de l'hirondelle. J'aime aussi sentir le vent les faire frémir lorsque je médite. Quant à mon visage, j'imagine que mes traits peuvent être qualifiés de "fins". On m'a quelques fois fait la remarque que mes oreilles étaient petites. Quant à mes yeux, là est une particularité dont je nourris quelques fantasmes; ils sont violets, et mes pupilles sont légèrement étrécies, à la manière de celles d'un chat lorsqu'il vois la lumière.

Je suis grand. Je dominais ma fratrie dont je n'étais même pas l'aîné d'une bonne taille, d'un peu plus de 6 shaku*. J'exerce mon physique quotidiennement, à un rythme régulier et sain. La rigueur et la discipline sont des mots que j'emploi avidement quant à cette routine-là, bien qu'évidemment, ce sont des principes qu'il est plus facile de tenir avec soi-même qu'avec les autres.

Peut-être est-il justement à propos de décrire désormais la façon dont je me comporte, cela fait une bonne transition.

Je pense être d'un genre méditatif. Je suis peu loquace, certains diront réservé. Dans les faits, il est vrai que je suis peut-être assez introverti. Mais je préfère dire les choses de la sorte : d’avantage que de parler aux autres, il est plus facile de se parler à soi-même, comme je le fait, en quelques sortes, actuellement, en écrivant dans ce journal. J’apprécie beaucoup méditer sous les cerisiers, prés de l’étang dans lequel se déverse tous mes songes et mes passions. En vidant mon esprit, j’atteint la paix. Ce royaume de larmes et de sang dans lequel nous vivons semble tout à coup n’être qu’un lointain souvenir. Mais, peu importe. Ce journal n’est pas un traité sur la méditation, bien que j’aurai pu davantage écrire sur ce sujet.

J’ai beau être introverti, je ne suis pas discret pour autant. De par ma taille, ma stature, et peut-être bien mon nom, j’impose aux autres, il est vrai, la prestance et la présence digne de quelqu’un de mon rang. Mais au-delà d’être un trait naturel, c’est là une nécessité sociale dont j’ai pu éprouver les rudiments en accompagnant mon père dans les devoirs qui sont les siens, afin de le représenter et de garantir à ma famille un avenir où sa dignité serait assurée. C’est un devoir auquel je me prête de bonne foi, ou, tout du moins, auquel je me prêtai. Aujourd’hui… c’est un peu plus difficile, évidemment.

Si hier, mes pensées étaient adoucis par l’enfant ingénu que j’étais; aujourd’hui, je polis dans ma tête l’ébauche d’un esprit nouveau. Je caresse et j’aguerris celui que je serai demain, et; demain serai-je comme cet éternel empirique qu’était mon père ? Le chemin s’annonce rocailleux, et, comme le premier empereur de Chine lorsqu’il gravit le mont Tai pour y célébrer l’union de son peuple auprès des Dieux, je n’oublierai pas de nouer à mes pieds des lianes pour ne pas blesser la terre de mes foulées.


*6 shaku: à peu prés 181cm.
Histoire




Sans savoir pourquoi
J'aime ce monde
Où nous venons pour mourir.


« La constance à l’honneur des aïeux » est la devise du clan Ashikaga depuis quelques années maintenant. J’aime beaucoup cette phrase, car elle énonce avec beaucoup de clarté ce que je dois à mes ancêtres bien que l’existence d’une telle formule soit quelque peu trouble. Mon clan est millénaire. Il est issu du clan Minamoto, lui-même issu de la famille impériale depuis un temps qui précède même la Guerre de Jishō–Juei. Mon illustre clan a officié à la tâche de Shōgun pendant plusieurs siècles avant d’être défait par le démon d’Owari et ses successeurs : le singe, puis le raton laveur.  Mes ancêtres s’en sont alors retournés sur leurs terres natales de Shimotsuke pour y régner, puis y persister comme la réminiscence quasi-oubliée des temps anciens.

Depuis maintenant un siècle cependant, ma famille cherche à retrouver le prestige qui fut pendant longtemps le sien. Les affaires, l’économie, l’art, le sport et la politique en étaient les principaux instruments. Mes arrières-grands-parents ont établis de solides fondations grâce à des sociétés florissantes; des enfants calligraphes ou pianistes et qui y excellaient, par ailleurs; comme l’héritage de nos lointains ancêtres était celui d’éminents Samurais, le kendo et d’autres arts martiaux étaient passionnément pratiqués; et surtout, certains membres de la famille se donnaient un nom en politique. Ce nouveau champ de bataille était convoîté par chacun d’entre eux, mais peu parvenait jusqu’à ne serait-ce qu’être élu local, et encore moins jusqu’à la députation nationale.

L’apogée de cette recherche d’une nouvelle dignité atteint finalement son apogée grâce à mon père. Lorsque je naquis en 2033, Ashikaga Takayoshi était déjà Représentant à la Diète nationale ainsi que secrétaire général du Cabinet du Premier Ministre de l’époque. Son cursus honorum n’en était alors pourtant qu’à ses balbutiements.

Je dois tout de même avouer qu’être le fils d’une personnalité politique a bien évidemment ses avantages et ses désavantages. Mais c’est avant cela un espèce de devoir à demi-mot. La sphère personnelle et la sphère publique se conjuguent si mal ensemble qu’il est impératif de dresser une barrière nette entre elles, ce qui n’était pas tous les jours facile à vivre pour l’enfant que j’étais. Cela dit, le pouvoir que j'ai éveillé lorsque je n'étais qu'un enfant ignare m'a procuré un refuge apaisant où je pouvais m'adonner au sérieux sans être dérangé par les responsabilités du statut de ma famille.

Dés mes plus jeunes années, j’ai étudié et je me suis entraîné davantage que mes semblables. Le talent n’est inné que pour les faibles d’esprit, et seule la détermination vous assure la force de résister au tsunami. J’ai travaillé dans de multiples domaines pour faire honneur à ma famille. La calligraphie, la cérémonie du thé, le koto, l’aikido et le kendo furent mes passions, bien que le dernier d’entre eux fut mon domaine de prédilection. A mes douze ans, j’ai commencé à abhorrer l’aikido pour son aspect bien trop défensif à mon goût, bien que quelques événements en fussent également la cause, et j’ai alors concentré tous mes efforts sur le kendo. J’ai connu des défaites et des victoires qui m’ont contraint à me transcender, j’éprouvais un tel plaisir en sentant entre mes mains le bois du bambou que je passais des journées entières à travailler ma posture, mon équilibre, mes coups ou même mon cri. Je combattais lors de concours, de tournois, et lorsque ma technique était dépassée par celle de l’adversaire, cela ne faisait que forger ma détermination.

Je vivais l’âge d’or de ma vie dès mes 10 ans. Mes amis du dojo et moi-même combattions comme des frères et sœurs d’arme. Mais ma plus grande fierté fut la rivalité que j’entretenais avec mon véritable frère biologique. Ashikaga Ujiyoshi était mon aîné de deux ans, et c’était lui qui devait être l’héritier politique de notre père. Qui plus est, il avait ce talent inné au kendo que je n’avais pas, et pour lequel je devais travailler davantage que lui. Il était à la fois un modèle, et un rival. Une relation parfois étrange nous liait. Pour le vaincre, je variais ma pratique du sabre à travers le iaido et un kenjutsu plus traditionnel. Je m’intéressai également à la forge d’une arme pour comprendre son existence à travers le procédé de sa création.

De fait, si je devais faire bonne figure en public en dépit de la pression qui s’exerçait sur moi pour être le digne fils de mon père, le digne frère du génie qu’était mon aîné; lorsque j’étais seul, je nourrissais sur ce même-journal quelques pensées, insignifiantes, mais impitoyables envers ma propre famille. J’avais quelques fois cette vilaine impression que je ne pourrais jamais sortir de leur ombre et me construire pleinement. Ces mots dont j’avais sous-estimé les conséquences m’ont finalement été les augures du funeste destin de ma famille.

En 2043, mon père atteint l’honneur politique le plus remarquable en devenant président du parti le plus important à la Diète, et, par conséquent, Premier Ministre du Japon. Son gouvernement poursuivit l’oeuvre du précédent en promulguant de nombreuse réformes en faveur des Héros, plaçant en ceux-ci l’espoir du peuple et la valeur de preux chevaliers sauvant la veuve et l’orphelin. C’était bien sûr une époque où je rêvais de devenir comme eux, mais de mes dix ans j’étais déjà fort occupé au kenjutsu. C’était aussi une époque où je ne voyais plus mon père sinon aux quelques soirées mondaines habituelles, ni mon frère, sinon aux tournois de kendo. Notre paternel était sans nul doute accaparé par ses prérogatives, mais aussi par les quelques affaires nébuleuses qui entourent les Héros.

En 2045, la Trahison survint.

Ashikaga Takayoshi tomba en disgrâce, et fut forcé de démissionner.

Kawasaki fut rayée de la carte.

Ashikaga Ujiyoshi fut assassiné par le chaos qu’un tel événement engendra.

J’accomplissais le genpuku au sanctuaire Yakushi-ji de Shimotsuke.

Mon père fut envoyé en asile psychiatrique, et ma mère se donna la mort par le Jigai.

J’avais observé tout cela de loin, comme si je n’avais été qu’un spectateur. Pourtant, ma vie elle aussi était en danger car si mon frère avait été assassiné, ce n’était pas seulement de par sa filiation avec le Premier Ministre déchu, mais aussi car il avait éveillé son propre Alter en tant que tel, et qu'il le maîtrisait plutôt bien à un jeune âge. Ainsi, depuis ce jour, je passai la quasi-totalité de mon temps dans ce refuge que m’avait procuré mon Alter, un endroit serein auquel seul moi pouvait accéder et où je méditais pour ne pas connaître le même infortune que mon père.

Je méditais par le sabre. Je méditais à la fois sur ce qui était advenu de ma famille, qui basculait une deuxième fois en cinq-cent ans dans le malheur et le déshonneur, et sur ce que je devais devenir. Je médite encore aujourd’hui, mais mon Alter m’apporte sans cesse des bribes de réponses. Bien que je peine à les comprendre, je commence à voir la vérité dans le mensonge; l’ordre dans le chaos. Depuis que mon frère avait éveillé son pouvoir, et envisageais de devenir un héros, mon père avait été persuadé de l’avenir de cette nouvelle caste sociale qui naissait alors. Il avait fait de la promotion des Héros une véritable idéologie, menant son parti à la majorité à la Diète nationale. Les causes et les idées ne m’intéressent pas. Je pense que mon père s’était fourvoyé, et qu’il ne s’agissait pas simplement-là d’une idéologie, mais d’un ordre naturel des choses contre laquelle la jalousie suscitée par le peuple a tué mon frère et ma mère.

Intégrant le cursus académique des Héros, peut-être raménerai-je sur mon nom l’honneur et la dignité. Mais pour l’heure, je vais davantage me forger moi-même que la destinée de mon clan, jusqu’au jour où je ne penserai plus, mais je saurais; aussi sûrement que le jour succède à la nuit, avec autant de certitude que je sais que le feu et le fer réchauffent l’âme du guerrier.

Peut-être continuerai-je d’écrire quelques mots sur ce journal dans les prochains jours. Après tout, j’ai peut-être narré ici une histoire un peu trop concise et brouillonne. J’espère grandement m’améliorer à l’écriture, et j’y poursuivrai possiblement mon intérêt pour les haikus, et m’y exercerais à l’avenir en bonne et due forme.
Questions
Selon vous, quelle est la définition de l'héroïsme ? :
L’Héroïsme est un concept créé par les faibles pour légitimer leur requête égoiste envers les forts de les protéger. En soi, ce concept n’a pas lieu d’être, car le devoir naturel du fort est de protéger les faibles. Cela dit, cela ne doit pas être une relation unilatérale. En échange de sa protection, le faible doit, d’une manière ou une autre, rendre le contrat équitable. Le salariat des Héros est une mauvaise idée, et n’attirera que jalousie et avarice.
Dans une équipe d'intervention, quel rôle tiendriez-vous ? :
J’occuperai inévitablement une place offensive de par mes compétences et mon Alter. Celui-ci m’offre différentes possibilités en termes stratégiques pour affronter tous types d’adversaires.
Dans une classe, quel genre d'étudiant êtes-vous ? :
Je ne suis pas vraiment loquace, et je reste seul en général. En revanche, j’estime grandement l’amitié et je ne suis donc pas fermé. Je suis assidu aux cours, et j’étudie sérieusement. J’excelle particulièrement dans les cours d’Histoire.
Quelle opinion avez-vous sur votre Alter ? :
Ma relation avec ce pouvoir qui m’a été conféré est assez étrange. Des hauts et des bas, mais je considère généralement mon Alter comme un bienfait. Un don que le destin m’a conféré lorsque j’avais besoin d’un refuge dans lequel méditer.
Imaginez que vous êtes pris au piège dans un bâtiment, qui est la proie de flammes et dont l'évacuation n'est pas complétée. Sur le bras, vous avez un civil, conscient et en bonne forme physique, mais sans Alter, que vous devez rescaper. Devant vous, il y a le responsable de l'incendie (criminel) qui menace de continuer à répandre des brasiers dans la ville, ultérieurement. Vous êtes seuls. Si vous quittez, le vilain aura l'occasion d'échapper à la justice. Quelle devient votre priorité, comment réagissez-vous ? :
Le criminel est la priorité absolue, le moindre mal. Sauver un seul civil ne pourra jamais justifier la mort de centaines d’autres.
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Comment as-tu découvert le forum ? : Par Astrid !
Ton personnage préféré dans MHA ? : Je ne peux pas vraiment me prononcer, car je n’ai ni vu ni lu MHA, cependant, je serai tenté de dire Mirio Togata pour ce que j’ai vu et ce qu’on m’a dit du personnage !
Autre chose à dire ? : Yoroshiku onegaishimasu !
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Shishibi Nana
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Jeu 24 Déc - 9:38
Hola Chocolat !

Alors once again bienvenue sur Heroes Never Die ! Tu es officiellement une belle personne !

Bon premièrement, j'aime beaucoup ta plume et tout et tout, mais je trouve que même avec tous ces jolis mots, au final j'ai l'impression de très peu connaître de Sengo niveau personnalité. Tout ce que j'ai retenu c'est qu'il était introverti, imposant et traditionnel, le reste c'était plutôt flou. J'aurais bien voulu en savoir plus sur notre étudiant, mais au final ça veut juste dire qu'on apprendra à le connaître via le RP donc ça va !

Ensuite concernant l'histoire. Bon bah ta famille t'a dit bye bye, c'est d'une tragédie. De manière générale c'est plutôt bien fait. Tu as bien mentionné 2045 (UN PEU TROP MÊME HAHA). Je trouve que tu n'as pas mentionné convenablement la découverte de ton alter. On aurait dit que tu voulais juste le placer ici sans réellement de pencher dessus correctement, c'est dommage. Tu parles cependant plutôt bien de ton adolescence et de la fierté que tu apportes à ta famille, ce qui ajoute des bribes d'informations sur ta personnalité. J'aime beaucoup ta plumme, je tiens à le répéter et la musique d'ambiance est particulièrement bien choisie.

Sans tergiverser davantage, on valide tout ça avec un Alter de classe 6 !

Tu es validé !

Étudiant
Quelle belle nouvelle ! Il y a une lettre sur votre paillasson à votre nom, Ashikaga Sengo. C’est stressant, elle porte le seau des agences héroïques. Vous savez que c’est la réponse à cette candidature que vous avez soumise. Même vous la redoutiez, dès que vous la touchez, elle s’ouvre d’elle-même et vous lisez.

Cher Sengo,

C’est avec grand plaisir que nous vous annonçons que vous avez été reçu à Zaisen. En effet, en raison de Votre vision de l'héroïsme, votre combativité et votre talent, c’est celle-ci qui a retenu votre candidature qui vous permettra de vous former à la profession de héros et de parfaire votre savoir en son sein. De ce fait, elle vous a remis, ci-joint une bourse de 50 yens pour défrayer votre déménagement, 260 points de potentiel altérique, votre licence provisoire de Rang C  et une réputation NEUTRE.

Votre admission est effective à compter de maintenant et vous pouvez désormais porter sa couleur. Attention ! N’oubliez pas de faire parvenir votre Journal du Citoyen à l’agence en question pour qu’elle puisse compléter votre enregistrement.

Félicitations et bienvenue !
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