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On nomma ce terrible jour comme tel : la Trahison. La figure d’espoir ayant abandonné les siens ainsi que sa patrie, le visage du Japon changea du tout au tout. On savait les Alters dangereux, mais à quel point ?

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 Eaten by the ants... or the worms | feat. Suigyoku Arima

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Tobiihime Kōtetsu
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Dim 30 Aoû - 22:59

Eatean by the ants… or the worms.
ft. Suigyoku Arima
« You’re as fragile as an Ice Cream… and someday… ants will get you. »

Samedi après-midi. Un torrent de pluie s’acharnant sur Tokyo. Moi, penaud, sous cette magistrale pluie drue admirant cette glace fondre sur mes doigts à chaque fois qu’une goutte d’eau la heurtait et glissait jusqu’à sa base emportant une partie de son délice latté. Je ne savourais rien, je ne gouttais rien. Je n’avais pas faim. Je l’avais prise pour justifier ma piteuse présence en ce parc. Le bras libre ballant, les jambes crument ancrées dans la terre boueuse, salissant cette tenue civile que j’avais prise. Ni crime à arrêter ni patrouille à effectuer. La pluie avait vidé Tokyo de sa vie et moi de mon envie de me réfugier, attrapé soudainement par cette inondation que tous les médias avaient prévue, mais fidèle à mon habitude, j’avais refusé de les écouter. Borné. Blasé. Dans le désir le plus fou de s’occuper malgré les caprices de la nature. Les LED de mes yeux rivés sur la lumière encore peu prononcée du Rainbow Bridge, faisant dos au palais qu’était le conservatoire Zaisen, tâchant de me convaincre qu’aujourd’hui, c’était jour de repos. Tâchant de me rappeler que si je croisais un élève aujourd’hui, je ne serais pas Cyber Dreads le héros ricaneur, mais plutôt Kotetsu, l’adulte qui pouvait vivre et respirer librement parce qu’il faisait son métier.

Une goutte, puis une seconde touchèrent mon cornet successivement. Machinalement, comme si c’eut été un geste purement naturel, comme si je l’avais répété des milliers de fois, je l’essuyai du petit bout d’essuie-tout déjà souillé par les fois précédentes. En apparence, j’avais tous les airs de ces hommes nostalgiques qui se rongeaient les trippes avec des idées noires, mais je ne fixais que le vide, me laissant déconcentrer par les écureuils qui couraient avec leur butin pour s’abriter me rappelant que l’hiver approchait. La rentrée aussi. C’était lundi. Dans tout juste deux jours, je retrouverais cette cohorte d’étudiants que l’on m’avait assigné quatre mois auparavant. Mes discours étaient prêts. Mes cours étaient prêts. J’étais au poil dans mon organisation. Prêt à guider ces jeunes pour qu’ils deviennent ces élites héroïques que l’on espérait qu’ils soient. Prêt pour ces mille-et-unes inepties qu’impliquaient l’enseignement. Prêt à… laisser tomber ma glace. Tant pis. Je ne voulais pas la manger de toute façon. Les fourmis s’en régaleraient quand le déluge aurait cessé. J’essuyai ma main, collante du dessert chocolaté et ouvris mon parapluie que j’avais déposé à mes côtés. L’objet fit son travail et me protégea de la pluie.

À quoi bon ?

J’étais déjà trempé des pieds à la tête, je pataugeais déjà dans la piscine de mes vêtements. Pour rire. Pour rire sans que l’eau ne pénètre la subtile ouverture de ma bouche. Je poussai un esclaffement mécanique que tous les témoins – s’il y en avait – auraient pu entendre aisément. La fatigue semblait tempéré cet amusement. Personne ne riait autant pour avoir échappé sa glace. C’est plutôt la pensée qui me traversa et les gestes qui l’accompagnèrent qui m’amusèrent. D’un geste brut, j’avais écrasé le cornet sous ma botte comme si j’avais été un géant écrasant un immeuble, comme si j’avais été le Godzilla de la glace. En même temps, l’un de mes cheveux s’était étiré pour cueillir un lotus dans la marre et le déposer sur le dégât. La sépulture du délice chocolaté. Je venais de l’enterrer comme un humain, par réflexe… comme si ça avait été une belle habitude à avoir d’enterrer les gens.  « RIP douce gélatto. » dis-je en me levant comme si je l’avais regrettée alors que je ne l’avais pas savourée… alors que je ne l’avais pas connue.

Comme ces civils que je secourais.

Masque de compassion et de sympathique. Masque de sincérité et d’empathie. Masque vicié et corrompu par son propre égoïsme. Comme pour cette glace, ce n’était qu’une bien faible attention que je portais réellement aux gens. Je faisais ce métier pour la reconnaissance, la gloire qu’il avait pu m’apporter auparavant. Avant Solem. Homme méprisant, détestable que je maudissais d’avoir existé. Ou d’exister. Chaque soir où je m’endormais, chaque soir où je n’étais pas rattrapé par la nostalgie de mes insomnies, je me promettais de régler mes comptes avec cet ancien numéro un aujourd’hui disparu. Disparu depuis cinq ans. Exilé ? Non. Impossible. Pas sous le règne de cette Shogun. Il était toujours là, toujours vivant… et je me promettais de le tuer, de caresser son visage de ma botte avec l’espoir infini qu’il s’excuse d’avoir gâché ma vie… et celle des autres. Non juste la mienne. Les autres se vengeront eux-mêmes. « Douce et courte fut ta vie. » lançai avec un rire avant de lancer mon essuie-tout sur la tombe de ma glace.  Douce et courte vie. Comme celle de tout humain. Elle avait bien ça en commun avec nous. Et je ris. Je ris jusqu’à ce que le marchand de glace ambulant ferme ses volets par peur de représailles.

Je ris plus fort encore.

Avide d’un sentiment de compassion que je ne trouverais pas ici. Avide de quelqu’un pour pleurer cette friandise à ma place. Avide de quelqu’un pour me dire de ramasser mes déchets. Avide d’un individu qui m’interpellerait et que je pourrais regarder de haut. « Je bosse Pour Zaisen. » déclamai-je comme si on avait besoin que je le rappelle à tout va. Il n’y avait personne pour m’entendre, personne pour recevoir ma déclaration.

Personne pour me dire de me calmer.

Un vide que la pluie s’évertuait à meubler de ses clapotements continus contre mon parapluie et la nature. J’étais ce vieil alcoolique un peu cinglé que même les oiseaux craignaient, cet homme qui avait l’air fou, que tous connaissaient, que tous insupportaient, mais qui continuaient de faire parler de lui parce qu’il existait… à une différence près : j’étais sobre. Je n’avais bu aucune goutte de boisson dans les derniers mois, c’était mauvais pour l’équilibre fragile de mon corps « parfait. » Je craquais simplement. Comme à chaque rentrée depuis que j’enseignais. Parce que la pression était forte. Devoir m’ériger vers le sommet, ça allait. C’était réaliste, c’était faisable. De moindre envergure. Devoir guider avec moi toute une génération de héros qui n’avait jamais vécu la gloire d’antan, la gloire qui précédait le jour T… c’était différent. Y penser, penser à la déchéance éventuelle de leur vie, à cette réputation de parias qu’ils auraient, à ces rêves déchus qu’ils confronteraient… c’était triste.

Et à chaque rentrée, j’y étais confrontée… comme une vieille chimère omniprésente qui guettait mon insensibilité.

Et je m’éloignai du banc, je marchai vers cette marre que les amphibiens envahissaient, graciant l’humidité. Je faisais dos au monde, contemplant les rictus ondulés de l’eau au contact de la pluie. Trop concentré pour entendre quiconque s’approcher.

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Ven 4 Sep - 8:16
La fête à la grenouille.
Aujourd’hui, ils avaient prévu une pluie digne de la saison des moissons. Alors que tous les Japonais étaient dépités de cette nouvelle et que certains décidaient alors d’annuler leurs activités prévues pour la journée. Toi, tu étais enjoué. Lorsque tu étais tout petit, ta mère t’avait forcé à l’accompagner dehors, durant la saison des moissons justement. Elle t’avait montré à quel point ce temps était agréable pour vous. À quel point l’humidité pouvait faire du bien à ceux qui possède un alter tel que le vôtre. C’était d'ailleurs durant cette saison que tu en avais appris le plus sur ton alter et que tu le développais d’avantage.

Cependant, aujourd’hui, rien de prévu. Et ce, malgré la météo. Tu étais par conséquent très déçu. Ces derniers temps. Ta mère te répétait qu’elle n’était pas une héroïne et que par évidence, tout ce qu’elle pouvait t’apprendre était limité. Affirmant qu’elle n'avait plus rien à t’enseigner. Elle t’avais toujours soutenue dans ton rêve de devenir un héros et aussi étrange que cela puisse paraître, même lorsque tu avais perdu la flamme de te battre pour ton idéal et que tu te mis a douté, elle fut la première à te dire de ne pas lâcher prise.

Mais après, qu’est-ce qui pouvait t’empêcher d’attraper ta combinaison des jours de pluie et de sortir t'entraîner seul au parc ? Par ce temps, aucun témoin ! Tu sortais simplement t’entretenir. Maintenir ton alter en forme. Tu te retrouva donc sous la pluie avec cette tenue plutôt atypique qui grossièrement n’était rien de plus qu’une combinaison de plongée noire sur laquelle il n’y avait ni masque ni manche. Tu avais le visage à découvert et les épaules nues. Ainsi donc tu ne tardas pas à ressentir les torrents de pluie sur tes épaules et tes cheveux avaient foncés en s'imbibent de l'humidité

Sur le chemin du parc, arrivé devant ce dernier, tu assistais au loin a une scène désobligeante. Il y avait un homme, même s'il n’était pas dans la tenue dans laquelle tu étais habitué de le voir, un fin connaisseur en héroïsme tel que toi ne pouvais pas ne pas reconnaître l’un des membres du top 30 ! Cyber Dreads. Il n’était peut-être pas le plus fort de tous les héros, mais il était l’un de tes favoris, son caractère avait su te séduire de par son assurance, sa capacité à sourire face à l’adversité, la confiance qu’il avait en lui et en la facilité qu’il avait à écraser les brigands. Son alter était reconnaissable entre mille, sur ce banc, c’était bien lui. Mais… Que faisait-il avec cette glace ?

Tu l’observas calmement sans l'interrompre, tu assistas toute la scène de ces “funérailles sucrées”. Tu trouvais ça franchement bizarre. Mais ce qui fut vraiment étrange, ce fut ce moment où tu te rendis compte que tu étais désormais face à lui, lui barrant la route sans trop de rendre compte a le regarder bêtement sans la pluie, sans bouger. Allais-tu dire un mot ? Probablement pas, tu étais encore bien trop intimidé par sa simple présence.

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Dim 13 Sep - 17:19
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Vraiment trop concentre. Perdu dans mes pensées à tel point que je ne vis même pas ce jeune garçon s’interposer entre la douce marre d’eau et moi. Il me regardait, curieux. Je l’ignorais, indifférent. Il continuait. Je continuais. Chaque pas était telle un tango duquel on avait planifié la chorégraphie. Ç’aurait été presque adorable si je l’avais connu, s’il ne m’avait pas semblé être un horrible stalker que je préférais loin. J’aurais pu le repousser, le forcer à sortir de ma vue, à regarder ailleurs, je ne le fis pas. Trop curieux, trop insistant, trop présent. Je baissais plutôt le regard vers lui. Il était jeune. Un jeune adolescent. Au mieux, il avait 16 ans.

Non.

Pas un de ceux-là. Seize ans, c’est l’âge où les jeunes se défoulaient et en voulaient à Zaisen de ne pas avoir accepter leur dossier. Seize ans, c’est l’âge où ceux qui espéraient devenir des héros se vengeaient et devenaient des vilains aussi ridicules qu’inutiles. « T’es consicent que t’as une tenue d’plongée sur le dos ? » lui soulignais-je dans un soupire exaspéré et fade, attendant du revers le sermon immonde qu’il me sortirait. « Vous avez gâché mes rêves avec votre selection injuste skreu gneu gneu. Comment vous pouvez être un héros et agir comme vous le faites ?... » Bla bla bla. Avec le temps, j’avais déjà entendu chacune de ces répliques cinglantes qui se voulaient hostiles et qui ne me faisaient même pas broncher d’un sourcil. Chaque fois, j’avais cette même habitude à l’endroit de ceux qui me confrontaient. Je les accueillais d’une moquerie cynique avec l’espoir qu’ils rebroussent chemin, qu’ils cessent de m’embêter. « Ça rend moche. » Et voilà que j’observais les rictus sensibles sur son visage, le moment où il tiquerait que, d’une façon voilée, je venais de l’insulter en attaquant son égo. Ça en calmait certains, ça en énervait d’autres. Et je restais figé, prêt à toutes les éventualités. Prêt à voir leur réaction et à leur mettre directement au visage ô combien j’étais une version d’excellence qu’ils n’atteindraient jamais.

C’était un jeu.

Un jeu innocent dans lequel j’étais le seul à tirer du plaisir, un jeu dont j’étais le seul héritier des bénéfices. Le seul à avoir du plaisir… sauf si ! Un éclair de génie sembla traverser mes yeux qui valsèrent entre le jaune et le blanc. « Tu veux bien t’pousser, c’est la température parfaite pour la saison de reproduction des grenouilles, leurs danses de séduction sont à mourir. » Je fis un pas de côté pour ne plus qu’il soit dans mon chemin et je lui montrai mon dos.

Mon dos.

Cette proie facile, accessible, ce point vulnérable pour la plupart des gens. Pas pour moi, du moins pas dans ces circonstances. Quand il se tournerait, si les provocations avaient fonctionné, s’il voulait m’agresser, il crierait. Comme tous ces gens qui croyaient, naïvement, que la force d’un coup et d’une attaque tenait dans la puissance à laquelle tu poussais ton cri de guerre. Narutooooo ! Sassssssuke ! Ces deux idiots étaient à l’origine de cette pensée qui chaque fois me faisaient sourire. Foutus mangas. Dire que c’était l’une des seules choses agréables à lire depuis la montée de la Shogun. Si les provocations avaient échoué, il parlerait, il dirait une phrase fade et sans importance que je réfuterais. C’était toujours comme ça. Les prétendants à l’héroïsme qui osaient s’en prendre aux représentants de cette justice unique étaient rarement des lumières, souvent des cas désespérés pour lesquels on ne pouvait rien et que nous avions refusé avec raison.

« J’doute que ce soit, mais si tu cherches une photo, j’en ai pas sur moi. T’as toujours les caméras sur les réverbères. Elles ont bien posé ta tronche et les atouts que ton survête moule. » dis-je en pointant l’une de ces caméras de la main gauche et mon propre entre-jambe de la droite. Ça se voulait une ultime menace. Une menace qui ne tomberait pas dans l’oreille d’un sourd, normalement. Si par une chance quelconque il pouvait tuer en un seul toucher ou faire usage de je-ne-sais-quel alter meurtrier, si par chance il pouvait attenter à ma vie, les autorités avaient déjà un visuel sur lui, il était déjà enregistré.

J’avais l’avantage d’être un héros. Je n’étais jamais le méchant qui provoquait les autres gratuitement.

Nous avions piètre réputation, certes, mais pas au point de s’inventer des crimes à pourfendre pour augmenter notre propre réputation, pas au point de faire semblant de travailler. Pas au point de provoquer gratuitement des civils pour le simple loisir de se battre voyons. Nul ne faisait ça.

Sauf moi. Ça m’amusait.

J’appréciais voir cette frustration dans les yeux des gens, j’appréciais les voir réagir au quart de tour pour des mots qu’ils avaient vu bien plus gros qu’ils ne l’étaient réellement. Pour des mots qui n’auraient aucun pouvoir dans un tribunal pour contester ma licence. « Il a dit que j’étais moche. » Et alors ? Tu as cinq ans ? « Il m’a reluqué. » Faux. J’observe les détails pour voir si ma vie est en danger, c’est techniquement ce en quoi consiste mon métier. « Il m’a menacé avec des caméras. » Tout le monde sait que l’on est surveillé dans ce nouveau Japon. Rien dans mes actions ne compromettaient mon rôle ou la liberté d’exercice de ma profession. Je surfais toujours ainsi sur les limites du tolérable.

Parce que c’était drôle.

Comme cette tenue de plongée sous-marine qui le recouvrait partiellement. Qui, pour l’amour du ciel, se présentait dans un parc public ainsi vêtu ? À quel genre d’adolescent décalé avais-je à faire cette fois ? Que me voulait-il ? Pourquoi m’avoir bloqué le chemin alors qu’il y avait, partout autour, des dizaine de sentiers libres du fait que personne n’osait sortir.

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