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On nomma ce terrible jour comme tel : la Trahison. La figure d’espoir ayant abandonné les siens ainsi que sa patrie, le visage du Japon changea du tout au tout. On savait les Alters dangereux, mais à quel point ?

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 Arrosée de poison, même la plus grâcieuse des fleurs finit par faner | Fujiwara Umeko [Terminée]

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Fujiwara Umeko
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Fujiwara Umeko
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Ven 19 Mar - 16:45

Fujiwara Umeko

Nom : Fujiwara
Prénom : Umeko
Surnom : Priestess
Âge : 27
Sexe : F
Orientation : Lesbienne
Occupation : Vilaine
Métier : Ancienne héroïne devenue maîtresse de Dojo
Feat : Scathach –Fate/Grand Order
Alter
Tesla
Le corps génère un champ électromagnétique à polarité variable (Nord ou Sud).
Specifications et contraintes

Cet Alter permet à Umeko d’attirer ou de repousser tout objet comportant au moins une partie soumise à un champ magnétique. Elle peut également manipuler ces objets en transformant son corps en aimant, diminuant alors la contrainte de poids exercée sur son corps (elle n’aura aucune peine à soulever de l’électroménager et à le ‘lancer’ mais elle sera bien incapable de projeter des véhicules de plusieurs tonnes dans les airs)

Elle peut également magnétiser ce qu’elle touche directement (objets ou personnes) afin de pouvoir les attirer ou les repousser ensuite. Cette magnétisation n’étant pas naturelle, elle ne dure toutefois que cinq minutes.

Bien qu’elle puisse choisir entre deux polarités pour son corps, elle ne peut pas transmettre un magnétisme Sud si elle est polarisée Nord et inversement. Les inversions de son électromagnétisme n’étant pas instantanées, elle est assez limitée dans la multiplicité de ses actions puisqu’un délai variable séparera chacune d’entre elles.

Cet Alter reposant partiellement sur la charge électrique des matériaux, tout objet ou environnement isolé électriquement ne peut être affecté.

Description


Que peut-on dire sur Umeko qui soit réellement intéressant ? Comme tout le monde le sait, les yeux sont le miroir de l’âme et ceux de l’ancienne héroïne sont justement d’une couleur évoquant le secret, l’ambition et la rancoeur.

Le secret, car il est difficile de savoir quel genre de pensées se cachent derrière ce visage impassible. Elle ressent bien entendu la joie, la peine, la colère et bien d’autres émotions, mais elle considère que tout cela n’est guère davantage que des faiblesses qui pourraient être retournées contre elle si elle venait à en faire trop. Agir rapidement, discrètement et silencieusement est en quelque sorte sa règle d’or. Quelle serait, de toute manière, l’utilité d’exposer sa vie ou ses ressentis aux oreilles d’autrui, puisqu’elle ne se déplace que rarement pour faire la causette ?

Bien qu’elle semble clairement asociale au premier abord, il n’en est rien. Umeko ne vous dira rien de sa propre voix, qui ne vient que trop rarement s’élever dans l’air, à moins que vous ne soyez une gêne dans son parcours. Son calme, en apparence imperturbable, reflète une confiance presque aveugle en ses capacités comme en son Alter. Mais tout cela n’est que la façade « héroïque » de notre protagoniste du moment.

Car, comme vous et moi, elle possède également des ambitions et des rêves. Sont-ils louables ? C’est à vous d’en juger. Elle se soucie peu de la morale et donne l’impression de ne posséder aucune volonté propre, mais peu de personnes peuvent se prétendre aussi passionnées qu’elle ne l’est en réalité. Peu lui importe qu’elle soit face à un héros négligent ou bien à un tueur en série particulièrement sadique, le manque de flexibilité dans sa vision de la justice la conduira à punir les deux de la même façon. Le premier, pour qu’il apprenne le sens des mots « rigueur » et « implication » , le second, car il l’a bien mérité. Après tout, qu’il s’agisse de prévenir ou de sanctionner les crimes, la fin justifie les moyens.

Mais de quoi rêve-t-elle par-dessus tout ? Elle aura beau vous dire que ce n’est plus une enfant et qu’elle a donc passé l’âge d’espérer pour atteindre celui de réaliser, son objectif n’est nul autre que de faire la fierté les siens et d’éliminer tout ce qu’elle juge nocif pour le bon ordre de la société. Elle ne s’est jamais vraiment familiarisée avec les concepts d’exemplarité et de responsabilité propres aux Héros, considérant que la popularité ne lui convenait pas. Pendant que Solem et d’autres modèles occupaient le devant de la scène, les héros de sa trempe pouvaient se salir les mains afin que le citoyen lambda puisse sortir dans la rue sans être inquiété. Aux yeux d’Umeko, bien qu’elle respecte la notoriété et ses conséquences, ce n’est pas avec de beaux discours que l’on fait quoi que ce soit de concret. Car les rêves sont faits pour devenir réalité.

Et pourtant, le sentiment de rancoeur continue de l’habiter et de gagner un peu plus de terrain chaque jour. Beaucoup d’erreurs ont été commises dans son passé. Des vies prises involontairement, d’autres épargnées par excès d’humanité. Sans compter les blessures causées par ces dernières. Sa carrière est loin d’être irréprochable en termes de résultats, mais l’on ne saurait lui reprocher un manque d’implication. Cette façade orgueilleuse et désinvolte qu’elle arbore constamment n’est qu’une construction dont le but a été de la rendre plus efficace qu’elle ne l’était. Car trop souvent, les émotions ont crée le doute en elle. Trop souvent, son désir à faire ce qui est juste l’a conduite à incarner l’autre face de la pièce. 

Histoire


Umeko vit le jour un beau matin de février, durant l’an deux mille vingt-quatre. Vous pensez certainement que son nom a été choisi en corrélation avec la floraison des pruniers Japonais et vous avez entièrement raison. Le couple Fujiwara, dont la matriarche venait d’accoucher de sa deuxième fille, n’avait jamais été des plus imaginatifs pour nommer leurs enfants dont le nombre s’élevait maintenant à quatre. Umeko vint agrandir une fratrie dont l’aînée lui accorderait rapidement une attention toute particulière. Obtenir une petite sœur permettrait à cette dernière de penser à autre chose qu’aux mésaventures téméraires des deux frères jumeaux qui complétaient cette nouvelle génération.

L’enfance de la jeune graine d’héroïne ne fut pas des plus sereines. Point d’éducation stricte se profilant dès le plus jeune âge, mais une interdiction pure et simple de se reposer sur ses lauriers. Historiquement, la lignée Fujiwara avait toujours été proche du pouvoir, conférant de nombreux régents aux empereurs durant leurs règnes successifs. Le Japon était sorti de cette ère féodale depuis bien longtemps, mais au sein de cette famille, depuis l’évolution de la race humaine et son accès aux Alters, on s’était efforcé de faire de chacun de ses nouveaux membres des héros méritants au service de la nation. Bien des réfractaires avaient refusé de se voir leur destin imposé ainsi et leurs noms avaient mystérieusement disparu de tout registre officiel… tout comme leur existence véritable prenait fin tout aussi mystérieusement. Le patronyme des Fujiwara ne devant sous aucun prétexte être associé au crime, Umeko ne ferait pas exception à cette doctrine séculaire.

Et sa vie sera, très tôt, marquée du sceau de la malchance. Les premières années durant lesquelles l’enfant foula ce sol qui l’avait vu naître furent suffisantes pour que la fratrie n’intègre leur dernier élément dans une relation fusionnelle afin de mieux résister à l’entraînement martial qui était le leur. Car le patriarche, homme particulièrement rude, faisait en sorte de briser sa progéniture dès le plus jeune âge afin de pouvoir la remodeler au plus vite comme il l’entendait. Si ses trois premiers enfants avaient plutôt bien survécu à ce test, il n’en aurait sans doute pas été de même pour Umeko sans cet infaillible soutien fraternel. Pourquoi ? Car très vite, Fujiwara Harushige se mit à détester sa plus jeune enfant pour un matricide qu’elle avait involontairement commis.

Ce triste évènement nous reconduit peu avant le quatrième anniversaire d’Umeko. Une perspective future endeuillée par l’hospitalisation de la matriarche, Fujiwara Chiyo, dans un état particulièrement grave suite à un affrontement s’étant très mal fini pour l’héroïne. Après plusieurs jours de soins intensifs, ses jours n’auraient plus dû être en danger et sa famille put donc se rendre à son chevet. Ce que personne ne pouvait prédire était que, face à la vision de sa mère dans un tel état, Umeko éveillerait son Alter et provoquerait la destruction pure et simple des quelques appareils qui relevaient ses mesures vitales. L’appareil mesurant le rythme cardiaque étant hors service, comme tous les autres, aucun médecin ne fut apte à se rendre compte que l’impact n’avait pas seulement affecté que le matériel. La mère des quatre enfants disposant d’un Alter photovoltaïque, la perturbation provoquée par le manque de retenue de son enfant aura provoqué une décharge lui coûtant le prix ultime.

Dès lors, purement rejetée par la figure paternelle qui fera de son mieux pour que ce secret de Polichinelle ne s’ébruite pas, Umeko ne pourra plus compter que sur ses trois aînés pour l’éduquer. Quand bien même ceux-ci éprouvaient un certain ressenti envers leur benjamine, le fait qu’elle se morfonde bien plus que n’importe qui d’autre à chaque fois que le sujet était abordé finit par effacer les blessures de cet évènement dans les cœurs de tous, à l’exception du paternel qui rejetait toujours Umeko. Clamant haut et fort qu’il ne la pardonnerait que lorsqu’elle se serait montrée apte à remplacer cette vie qu’elle avait prise, ce fut sans aucun doute l’élément déclencheur de l’implication que l’on connaît aujourd’hui à la jeune femme. 

Car il lui semblait ne pas avoir le droit de laisser passer cette occasion. Parce qu’elle avait le devoir de se racheter comme elle pouvait. Les années passèrent et Umeko se détacha progressivement de l’attitude couveuse de sa fratrie pour marcher d'elle-même. Bien qu’à cet âge-là elle nourrissait déjà une certaine fierté, c’est principalement le désir de ne plus encombrer personne qui la motiva. Sa grande sœur était devenue une héroïne quelque peu renommée et ses deux frères s’apprêtaient à faire leur entrée dans cet univers de dévotion, alors elle ne pouvait pas continuer à se reposer sur eux et devrait prouver seule sa valeur. C’est exactement ce qu’elle fit pour marquer son adolescence, osant aller trouver son père avec nulle arme autre que ses poings pour le défier. Il ne faut cependant pas vous attendre à un affrontement serré ni même à quelque défi que ce soit pour Harushige. Plutôt à un passage à tabac, unilatéral. Quelques bruits de coups avaient bien retenti pendant que la jeune fille essayait de porter un coup décisif à son paternel, mais ce dernier n’eut qu’à asséner une paume punitive au niveau de la nuque de son enfant pour qu’elle ne soit projetée à terre. Ce fut le début d’un long cycle, qui s’étalerait sur plusieurs heures, durant lequel elle se releva à chaque fois qu’elle fut mise à terre. Malgré son jeune âge, elle possédait déjà une expérience considérable qui lui permettait au moins de pouvoir se tenir la tête droite face à cet homme qui conservait une main dans le dos. Cinquante, cent fois peut-être, Umeko mordit la poussière, avant que son père ne daigne rompre le silence.

« Pourquoi fais-tu tout ça ? Cherches-tu à ce que je prenne ta vie pour retrouver la sérénité ? »

Ces mots l’avaient suffisamment indignée pour qu’elle s’en souvienne encore aujourd’hui. Sa réponse avait été tout aussi cinglante.

« Je ne m’arrêterai que lorsque j’aurai forcé votre respect. Que vous aurez reconnu ma valeur. Comme vous, comme ma mère, comme ma sœur, comme mes frères...je veux entrer à Yuei quand le moment sera venu. »

L’admission à ce lycée faisait effectivement office, au sein de la famille, de rituel de passage à l’âge adulte. Il était toutefois purement refusé aux membres qui ne prouvaient pas leur valeur au patriarche en amont, ce pourquoi, à ce stade, Umeko ne pouvait que rêver de l’établissement Japonais le plus célèbre. Et même si après ses aveux, elle ne récoltera qu’un ultime coup lui faisant perdre connaissance, elle trouvera à son réveil, à son chevet, une lettre de son paternel. Il n’avait pas reconnu sa force, mais s’était bien vu obligé d’admettre la persévérance, ainsi que l’idiotie, de sa dernière enfant. C’est ainsi qu’il s’était engagé auprès d’elle à la faire souffrir, plus que ses aînés, afin qu’elle ne puisse hisser son art du combat et de la tactique au plus haut niveau possible.

Durant trois ans, Umeko n’aura guère connu autre chose qu’une formation draconienne dans laquelle son géniteur intervenait aussi bien comme instructeur que comme adversaire. Un épisode militaire dans la vie de la future héroïne, dont la fin fût marquée par un ultime duel qui s’étalerait non pas sur des heures, mais sur quelques dizaines de minutes. Ses progrès avaient été suffisamment considérables pour que, même sans recourir à la maîtrise de son Alter qui lui aurait donné un avantage certain, elle finisse par pointer sa propre lame en direction de son adversaire, non sans avoir essuyé quelques revers avant d’y parvenir. La surprise de son paternel, ainsi que son propre sourire victorieux, constituent une satisfaction, qui reste encore aujourd’hui gravé dans sa mémoire. Son chemin était encore sinueux jusqu’à prétendre avoir surpassé le chef de famille, mais ce dernier lui concédait enfin un minimum d’importance qui lui permettrait de participer à l’héritage familial et de l’honorer.

Quand bien même les portes de Yuei finirent par s’ouvrir à Umeko et qu’elle réussit finalement à décrocher sa licence avec certaines des meilleures notes de sa promotion, on ne peut pas dire qu’elle aie particulièrement marqué le corps enseignant de l’époque autrement que par son attitude effacée. Pourtant, son assiduité et son efficacité tranchaient clairement avec cette attitude. Dès son adolescence, elle fit néanmoins plusieurs rencontres qui scelleraient véritablement la vision qu’elle possède de l’héroïsme. Ses professeurs, comme ses camarades, avaient depuis longtemps abandonnés l’idée de comprendre qui elle était au-delà de ce qu’elle voulait bien montrer. Après tout, bien qu’elle soit distante, le fait qu’elle aie réussi les examens d’entrée ainsi que ses notes tout à fait correctes prouvaient bien son implication. Et pourtant, il y avait un de ses camarades qui ne la supportait pas. Qui la jugeait bien trop hautaine, indigne de porter les couleurs de l’établissement, tout comme d’être une héroïne. L’élève, muni de son tempérament impulsif, ne se heurtait bien souvent qu’au tempérament glacial d’Umeko qui ne faisait que le mépriser du regard. Combien de fois tout deux auront été dérangés par une présence tierce dans leur guerre froide avant qu’elle ne dégénère ? Beaucoup trop. Mais visiblement, juste assez pour qu’une fois leur licence en poche, ils se retrouvent tout les deux à intégrer la même agence héroïque. Tora, le héros félin, était jadis un homme connu pour sa capacité à faire collaborer même les plus incompatibles des tempéraments. Lui-même était issu d’une famille qui s’était vue déchirée par des jeux de pouvoirs entre frères et sœurs aveuglés par les richesses matérielles. Il s’était retrouvé sans rien sinon ses capacités et son diplôme héroïque, tant et si bien qu’il ne supportait pas la moindre querelle au sein de son agence. Ironiquement, il décida qu’Umeko et son camarade, Shinji, travailleraient ensemble tant pour leur sécurité et leur complémentarité mutuelles que pour apprendre à se supporter en faisant passer la vie des civils avant leurs différends. Car même si Umeko ne faisait la plupart du temps qu’ignorer les piques de son nouvel acolyte, elle ne se privait pas de le rabaisser plus bas que terre à la moindre bévue de sa part, tandis qu’elle essayait de se montrer assez minutieuse pour n’en commettre aucune. 

Du voleur de sac à mains au tueur en séries de personnes âgées, leurs quelques mois de collaboration au sein de Sugamo auront été autant d’occasions de rassurer la population locale que d’établir un semblant de relation rythmée par tant de secrets mutuels que de prises de bec découlant de ces secrets. C’est lors d’une de ces interventions que l’héroïne ressentit sa première déception. Elle s’était débarrassée de son acolyte qui gérait les victimes tandis qu’elle se pensait certaine de pouvoir appréhender les responsables… mais l’unique fautive lui avait filé entre les doigts malgré son investissement. Outre le blâme que cela lui valut, vous imaginez certainement qu’elle s’est maudite pendant plusieurs jours pour cette incompétence, mais ce ne fût pas le cas.
Tout ce que cet échec était parvenu à initier était une quête maladive. La recherche de celle qui lui avait échappé afin de rattraper son erreur bien sûr, mais surtout un lent plongeon dans lequel sa notion de pitié se noierait rapidement. Si jusque-là, elle avait toujours veillé à livrer ses cibles intactes aux forces de l’ordre, les criminels n’étaient plus à l’abri de finir salement amochés lorsqu’ils tombaient sur l’héroïne qui s’était faite connaître sous le pseudonyme d’Ikazuchi.

Ironiquement, c’est suite à cette mission que son acolyte lui sera retiré afin qu’elle puisse enfin travailler seule comme elle l’avait toujours souhaité. Ne plus avoir de poids mort à surveiller lui permettait de se concentrer davantage sur les réels objectifs de ses missions et quand bien même la chasse aux fugitifs orientait souvent ses patrouilles, elle n’était pas toujours en mesure de les confier vivants aux autorités. Malheureusement pour notre protagoniste, toutes les bonnes choses ont une fin et sa carrière d’héroïne ne faisait pas exception à la règle. Elle s’était toujours trouvée à sa place, dissimulée dans l’ombre des grands de ce monde, arpentant et nettoyant les rues au gré de ses envies. Jusqu’à ce qu’un évènement ne vienne projeter une lumière désagréable sur l’intégralité des héros.

Funèbre jour que celui resté dans les mémoires comme la Trahison. Contrairement à bien d’autres gens, Umeko n’y a perdu aucun proche. Elle en avait même profité pour reprendre contact avec sa famille après un silence radio de plusieurs années, coïncidant avec le début de sa carrière. Elle y avait toutefois laissé son respect envers Solem et rapidement, son désir de protéger la population fut lourdement ébranlé. Du jour au lendemain, pour tous ceux que l’on appelait Héros, tout changea. Un nouveau régime politique, un durcissement drastique des lois, un effondrement du système scolaire qui l’avait forgée. Tout cela n’était pas spécialement impactant pour la jeune femme qui se doutait que la Trahison de leur symbole ne serait pas sans conséquences, mais elle ne put se résoudre à accepter le fait qu’une si grande partie de la population ne se mette à douter de ceux qui avaient voué leur vie à protéger les leurs, tout ça à cause d’un seul homme. Désormais, partout ou elle se rendait, elle pouvait voir que l’on ne craignait plus les Héros, mais seulement la justice de la nouvelle dirigeante, Shogun auto-proclamée. Umeko n’avait jamais recherché la gloire, mais face à la vague d’indignation provoquée par Solem, elle fit partie des nombreux Altérés à raccrocher leur cape, tandis qu’Aconitum essayait tant bien que mal de maintenir le navire à flots. Ici, s’achève l’histoire de l’héroïne connue sous le nom d’Ikazuchi. Ici, débute l’épopée de la criminelle connue aujourd’hui sous le pseudonyme de Priestess. Car bien qu’elle aie perdu confiance en ce peuple qu’elle protégeait, il n’y a pas si longtemps, les ambitions de notre protagoniste n’ont pas changées. Convaincue que la Shogun n’est pas la dirigeante que le Japon mérite, l’ancienne héroïne émerge désormais de l’ombre et cherche maintenant à rassembler tout ceux qui, comme elle, ont été déçus par le système, afin de pouvoir changer celui-ci.

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Lun 22 Mar - 15:35
Hey Hey !

Alors je voudrais bien te dire que c'est validé mais . . . ça te ferait trop plaisir. Mais non je rigole, bien évidement que c'est validé ! Félicitations (o^-^)o

Ton alter est donc de classe 6 Alarmant, tention on te surveille :3

Au plaisir de rencontrer la Prêtresse en Rp :)

Tu es validé !

Vilain
Eh bien ! il semblerait que vous ayez déjà une histoire d’écrite au Japon. On ne peut que vous saluer dans la rue d’ailleurs. Du moins, si vous n’êtes pas trop terrifiants. Un homme quelconque vous a accosté aujourd’hui. Juste avant de continuer sa route, il vous a remis une bourse de 50 yens, 600 points de potentiel altérique, une carte indiquant une note, soit le rang B, un avis de recherche avec votre photo de 0 yens et une  réputation NEUTRE. Comme s’il vous connaissait déjà. Peut-être sait-il tout.

Il vous a sommé de remettre votre Journal du Citoyen dans les griffes des groupuscules qui se soulèvent dans Tokyo, il vous estime.

Curieux personnage.
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