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On nomma ce terrible jour comme tel : la Trahison. La figure d’espoir ayant abandonné les siens ainsi que sa patrie, le visage du Japon changea du tout au tout. On savait les Alters dangereux, mais à quel point ?

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 d u b i o u s - mari

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Hashimoto Ume
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Lun 7 Sep - 7:20
d u b i o u s
ft. Mari
you act like a suspect
Tu fais tâche ici. Vraiment, quand on te voit, on se demande ce que tu fous là. Avec ton accoutrement (t’es vêtue de noir comme tu aimes tant), à traîner devant tous ces magasins luxueux, on s’demande si tu prépares pas un casse ou quelque chose de louche. Faut dire que ta cigarette coincée entre tes phalanges, ta casquette sur la tête et tes lunettes sur le nez, tu te distingues de tous les friqués qui se promènent et qui font du lèche-vitrine tout en ayant des centaines de yens dans leurs portes-monnaies.

Bref, t’as pas ta place ici.

Tu le sais et tu le comprends bien de part les regards que l’on te lance. Toi, tu t’contentes simplement de leur offrir ton sourire le plus sarcastique possible. Ils peuvent tous bien penser ce qu’ils veulent, tu te casseras pas pour autant. Et puis quoi, t’aimes bien baver devant des vêtements (non) que tu pourrais t’offrir mais que tu n’achèteras jamais car bon sang tu n’es pas féminine et ça ne t’iras pas-du-tout. Beurk. Toutes ces robes élégantes, pleines de paillettes et t’en passe, trop girly. C’est vraiment pas ton style.

Mais bon, t’es pas là pour parler vêtements, n’est-ce pas ? T’es pas là pour t’arrêter devant chaque boutiques et t’extasier faussement devant toutes ces choses qui ne te plaisent pas. Il faut que tu retrouves quelqu’un. Une dame de cette caste-là ; une dame qui fait partie de ces gens qui ont de l’argent. Elle t’a contacté parce qu’elle a besoin des services et de tes qualités en tant qu’informatrice. Elle t’a donné rendez-vous quelque part dans ce quartier mais tu sais pas où. Fin si tu sais, mais comme tu connais pas, tu sais pas où il faut que tu te diriges quoi. Elle t’a parlé d’un immeuble, t’as même donné les codes pour rentrer.

Mais il est où c’fichu immeuble, hein ?

Ça va faire une heure que tu fais des aller-retours dans les ruelles et tu as croisé certaines plus d’une fois (ce qui te rends encore plus suspecte qu’autre chose). En fait, tu fais même un peu peur comme ça Ume. Surtout qu’on peut bien voir sur ton visage que t’es énervée, qu’il y a quelque chose qui te trouble (ouai, le fait de ne pas trouver cette putain d’entrée et ce foutu bâtiment de malheur). T’arpentes les allées, mais les indications qu’elle ta donné ne te mènent nul part.

Est-ce qu’elle ne se serait pas foutue de toi par hasard ?

« Raaaah ! » Que tu lâches, les personnes autour de toi te dévisageant et s’écartant même pour certaines (t’en as rien à faire). Du coup, un coup d’oeil pour balayer les alentours, tu décides de t’engouffrer dans une ruelle un peu plus étroite. Tu sors ton paquet de cigarette pour allumer un nouveau bâton de nicotine avant de t’armer de ton téléphone et de composer son numéro.

Elle va t’entendre.
Après une poignée de secondes, elle décroche.

« Ouai, c’est Hiji. C’est quoi vos indications d’merde là ? J’comprends rien, expliquez-moi mieux ou j’vais devoir vous abandonner ma p’tite dame. »  
(c) TakeItEzy
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Jeu 10 Sep - 10:29
Cette permanence avait été la bienvenue, le travail ne manquait jamais vraiment à la caserne, les unités spéciales comme celle de Mari n'étaient pas légion et à vrai dire l'existence même des forces spéciales anti-alter était un test du gouvernement. Alors tout les prétextes étaient bons pour monter une opération.

La chose ne déplaisait pas à Mari, qu'elle soit souvent mobilisée était gratifiant, mais le corps avait ses limites et quelques jours pour se reposer s'imposaient comme essentiels. L'agente avait gardé quelques bons amis dans Tokyo et c'était là l'occasion de leurs rendre un petite visite.

La jeune femme sortait d'ailleurs d'un repas partagé avec une ancienne collègue policière, celle-çi devait partir chercher ses enfants et s'était donc éclipsée assez vite, mais cela ne déplaisait pas à Mari qu'un peu de tranquillité. Elle avait ainsi le temps d'observer le monde. Elle aimait voir les vas et viens des foules, les interaction entres les gens, les mots échangés, quantité de détails que beaucoup préféraient ignorer, trop occupé pour s'y arrêter. Mais observer les autres était un spectacle qui savait détendre la militaire, sans trop savoir pourquoi.  

En tout cas à voir les gens ainsi on croirait presque que le monde se porte au mieux.

Mari se le demandait souvent, comment étaient les choses avant les alters. Beaucoup les voient comme une chance mais pour la jeune femme, ils étaient sans aucun doute une plaie pour ce monde. Tout est devenu absurde depuis leur apparition, imaginer une paix avec une telle violence potentiellement contenue en chacun...


« Cela aurait été si bien si ils n'étaient jamais apparut. »


Ce fut la pensé qui traversa l'esprit de Mari alors qu'elle observait les autres, pour elle les alter était bien plus une maladie, qu'une bénédiction.

Mais elle fut rapidement sortie de sa réflexion par une personne qu'elle observait maintenant depuis un moment. Une femme à l'attitude bien étrange, furetant dans tout les coins, s’arrêtant à chaque boutique sans jamais y rentrer et ne montrant aucun réel intérêt pour ce qu'elle observait. Elle semblait davantage chercher quelques chose d'autres.  

L'agent spéciale observait les foules depuis longtemps et son comportement était étrange. Peut être la curiosité ou des restes de son année dans la police, poussa Mari à la suivre, sans trop se faire remarquer.

La filature continua jusque dans une ruelle où la femme s’engouffra.

Jetant un œil dans l'étroite allée, Mari la vit s'agacer au téléphone. L'agent se manifesta alors, un premier contact lui permettrait peut-être de comprendre ce comportement bizarre ou peut-être de l'aider si elle avait un problème.


« Bonjour. Vous-êtes perdue ? Je vous vois marcher dans tout les sens depuis quelques minutes ? »  


Le vert éclatant des yeux de l'ex-policière reflétait son calme, tentant de paraître la plus bienveillante possible.
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Hashimoto Ume
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Ven 11 Sep - 17:11
d u b i o u s
ft. Mari
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Pourquoi t’arrives pas à la trouver, cette fichue porte d’entrée d’immeuble ? Pourquoi t’arrives pas à trouver l’immeuble tout court ? Nan mais sans déconner, ça fait trois heures que tu tournes en rond, qu’est-ce que t’as loupé ? T’as bien dû passer devant trente fois au moins, t’en es persuadée. Vu qu’la madame demande tes services, tu te doutes bien qu’elle doit pas se trouver dans un lieu où tout le monde pourrait vous entendre et vous voir. Et puis elle est pleine aux as làààà, faut absolument que tu la trouves, tu peux pas passer à côté d’une occasion en or comme celle-ci non d’une pipe (tain’ on dirait que t’as soixante ans Ume, calmos).

C’est parce que tu dois avoir un contrat avec cette dame que tu l’appelles.

Alors ouai, t’y vas un peu sec dès le début. Enfin, t’emploies pas tous ces beaux mots qu’ils utilisent là. T’allais quand même pas dire : « Mes salutations chère madame X. Voyez-vous, je me permet de vous joindre via téléphone portatif suite à un problème auquel je fais face. Oh, rien de bien grave, mais comprenez que je n’ai visiblement pas compris toutes vos indications et je ne trouve pas le lieu du rendez-vous convenu. Pourriez-vous, s’il vous plait, me réexpliquer afin que je puisse venir dans les plus bref délais ? »

BEURK BEURK BEUK.

N’empêche, tu lui mets un peu la pression en lui disant que tu vas l’abandonner. Ce à quoi elle te répond qu’elle trouvera quelqu’un de plus compétent encore, qu’avec l’argent tout se trouve.

« C’est surtout les charlatans que vous trouverez ma p’tite dame. Avec moi, c’est satisfait ou 100% remboursé, j’vous promet que vous regretterez pas. Donnez moi juste de meilleures explications svp. »

Les voilààà enfin, les indications de malheur. Au moins, ça te parait tout de suite plus clair (t’avais dû louper une phrase ou deux la première fois). Bref, tu coupes court à la conversation, parce que les murs ont des oreilles et que c’est dangereux de rester trop longtemps au téléphone (c’est pas un quartier que tu connais suffisamment bien pour t’y sentir à l’aise et comme chez toi). Ton téléphone remit dans la poche, y a soudain une voix qui résonne.

« AHHHHH !! » est la première chose que tu hurles avant de faire volte-face, mode défense activated.

Y a une jeune femme qui se tient là, devant toi. Merde, ça fait combien de temps qu’elle est là ? Est-ce qu’elle a entendu ce que j’ai dis ? J’espère qu’elle a pas compris, j’suis mal sinon. Et puis quoi, elle m’observe depuis quelques minutes déjà ? Wowowowowow, peut-être même plus qui sait ? RAH, si seulement j’avais bien écouté la première fois que l’autre m’a… NON, si seulement elle avait mieux expliqué, j’aurai pas eu l’air d’un lion en cage dans la rue pendant trois heures !!!

Le  s e u m.  

Tu te redresses, adoptes une position un peu plus conventionnel que chien enragé prêt à attaquer et t’esquisses un sourire.

« Pardon bonjour, vous m’avez fait peur ! Fin’, vous m’avez surprise quoi, peur est un bien grand mot. »

Qu’est-ce que tu racontes là, Ume ? T’es fatigante, my god.

« Oh en fait je me promenais et je regardais les boutiques. Il faut dire qu’il y en a tellement, on ne sait plus où donner de la tête ! Et puis les vitrines regorgent de jolies choses qu’on aurait bien envie d’acheter, n’est-ce pas, ahah ? »

Tu tentes un rire, mais t’as l’air plus débile qu’autre chose. Surtout si elle t’a dans le visu depuis longtemps. Rebondis Ume, rebondis.

« Mais je dois aller voir une amie dans le coin d’ici heure et demie voire deux. Peut-être pourriez-vous m’indiquez, en effet, où se trouve la résidence « Hasunohana » ? »

C’est pas du tout l’endroit où tu dois te rendre (c’est juste un immeuble dont t’as vu le nom et que t’as miraculeusement retenu). Faudrait pas qu’elle vienne à te suivre quand t’iras voir la madame fortunée quand même.  
(c) TakeItEzy
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